Secteur économique à part entière, outil stratégique des Dircoms ou danseuse des directions des Achats, le MICE opère sa révolution à toute vitesse. Événements, conventions, séminaires, incentive… pour l’interne ou l’externe, le Mice ou la Meeting Industry se révolutionnent, sûrement mais sans perte de temps.
Il semble urgent, mais difficile, de définir pour 2012 de quel MICE on parle. Ce secteur économique qui ne possède pas de convention collective, qui est tiraillé par moults syndicats et associations, qui se bat sur la TVA, l’accréditation Atout France, la loi sur le financement de la sécu et qui pour Bercy n’existe pas… représenterait un volume d’activités 2011 à hauteur de plus de 9 milliards d’euros visibles.
Aujourd’hui, 88% des entreprises considèrent le MICE (ou le media événement) comme un investissement majeur et à fort impact dans leur stratégie de communication avec une croissance notoire du nombre d’opérations professionnelles prévues pour 2012. L’humain reste au cœur du débat. C’est salutaire.
Il existe dans le MICE un triptyque vertueux (ou pas) représenté par les donneurs d’ordres (clients finaux), les agences (conseils, opérateurs, prescripteurs) et les prestataires (Hôtels, Lieux, DMC, Aérien , Technique, Artistique…). C’est là que tout se complique.
Les approches économiques des uns et des autres sont diamétralement opposées : qui vend de la valeur ajoutée (conseil, concept, logistique), qui achète de la stratégie (dircom) ou du prix (direction des achats), qui se bat encore sur une commission d’apport d’affaires ou qui va « en direct » chez les prestataires… Attentes, réponses, besoins du marché, stratégie de ventes deviennent ainsi en total réaménagement, en complète mutation. L’organisateur d’événements est devenu multiple et issu de sources qui n’existaient pas encore il y a 2 ans. Acteur en quête d’échanges, de partages, de bonnes pratiques, trucs et astuces, il contribue à faire s’accélérer cette révolution. Il fixe les règles du MICE de demain en définissant les destinations, formats, durées, programmes, ROI et modes d’achats/ventes…
Autant de sujet qui seront désormais à la une de Déplacementspros.com sous la plume de [email protected], sans doute l’un des professionnels les plus émérites d’un marché… Dont la révolution en marche va bousculer les habitudes, les relations voire même les usages économiques.
Aujourd’hui, 88% des entreprises considèrent le MICE (ou le media événement) comme un investissement majeur et à fort impact dans leur stratégie de communication avec une croissance notoire du nombre d’opérations professionnelles prévues pour 2012. L’humain reste au cœur du débat. C’est salutaire.
Il existe dans le MICE un triptyque vertueux (ou pas) représenté par les donneurs d’ordres (clients finaux), les agences (conseils, opérateurs, prescripteurs) et les prestataires (Hôtels, Lieux, DMC, Aérien , Technique, Artistique…). C’est là que tout se complique.
Les approches économiques des uns et des autres sont diamétralement opposées : qui vend de la valeur ajoutée (conseil, concept, logistique), qui achète de la stratégie (dircom) ou du prix (direction des achats), qui se bat encore sur une commission d’apport d’affaires ou qui va « en direct » chez les prestataires… Attentes, réponses, besoins du marché, stratégie de ventes deviennent ainsi en total réaménagement, en complète mutation. L’organisateur d’événements est devenu multiple et issu de sources qui n’existaient pas encore il y a 2 ans. Acteur en quête d’échanges, de partages, de bonnes pratiques, trucs et astuces, il contribue à faire s’accélérer cette révolution. Il fixe les règles du MICE de demain en définissant les destinations, formats, durées, programmes, ROI et modes d’achats/ventes…
Autant de sujet qui seront désormais à la une de Déplacementspros.com sous la plume de [email protected], sans doute l’un des professionnels les plus émérites d’un marché… Dont la révolution en marche va bousculer les habitudes, les relations voire même les usages économiques.
