Les sondages se suivent sans se ressembler. Dans un sondage IFOP réalisé pour Sud-Ouest, un Français sur deux (54%) comprend la colère des salariés de la compagnie française même s’il affirme ne pas approuver la violence.
De son côté, Odoxa pour ITélé porte un autre regard : 67 % des personnes interrogées considèrent que les violences sur le DRH d’Air France sont inexcusables et seuls, 32 % approuvent ces actes, signes d’une extrême inquiétude.
Selon l’analyse d’IFOP, les salariés sont les plus nombreux à comprendre la colère des personnels sans accepter la violence, alors que les cadres condamnent sans équivoque ces incidents.
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