Pas content, Alexandre de Juniac, à la lecture du quotidien Néerlandais De Telegraaf qui évoque un « plan de réduction des coûts de plus d’un milliard d’euros ». Une affirmation catégoriquement démentie par le patron du groupe qui a de suite précisé que si « Transform devait se poursuivre au-delà de 2015, ce serait principalement sur certaines activités du groupe ». Le Président n’a pas souhaité en dire plus sur le sujet.
Selon nos sources, le journaliste hollandais aurait interprété des rumeurs sur l’activité Fret du Groupe Air France KLM dont la santé est loin d’être florissante… A l’image de bien d’autres compagnies dans le monde. Air France, qui devrait annoncer prochainement des mesures sur cette partie de son activité, travaillerait sur plusieurs pistes de relance et pourrait envisager de repenser drastiquement son plan de transport du fret. Rien n’est encore arrêté à cette heure.
En marge du sommet de Doha, Alexandre de Juniac a confirmé les discussions avec Etihad pour un partage de revenus sur la ligne Amsterdam/Abu Dhabi. Une vision qui ne plait pas beaucoup à Lufthansa et British Airways qui reprochent à Air France de « faire entrer le loup dans la bergerie à une époque où les fonds des Émirats Arabes Unis sont partis à l’assaut des petites compagnies européennes ». D’autant que l’on évoque à nouveau un vieux serpent de mer : l’arrivée d’Etihad au sein de TAP pour un développement vers l’Amérique du Sud.
Enfin, Alexandre de Juniac qui a laissé la participation du groupe passer de 25 à 7 % lors de la dernière augmentation de capital d’Alitalia a confirmé que la vision « d’Etihad sur la compagnie italienne serait amicale pour le groupe franco-néerlandais ».
En marge du sommet de Doha, Alexandre de Juniac a confirmé les discussions avec Etihad pour un partage de revenus sur la ligne Amsterdam/Abu Dhabi. Une vision qui ne plait pas beaucoup à Lufthansa et British Airways qui reprochent à Air France de « faire entrer le loup dans la bergerie à une époque où les fonds des Émirats Arabes Unis sont partis à l’assaut des petites compagnies européennes ». D’autant que l’on évoque à nouveau un vieux serpent de mer : l’arrivée d’Etihad au sein de TAP pour un développement vers l’Amérique du Sud.
Enfin, Alexandre de Juniac qui a laissé la participation du groupe passer de 25 à 7 % lors de la dernière augmentation de capital d’Alitalia a confirmé que la vision « d’Etihad sur la compagnie italienne serait amicale pour le groupe franco-néerlandais ».
