American Express Business Travel révèle les résultats d’une enquête sur les préférences des voyageurs d'affaires, globalement satisfaits de leurs déplacements.
Malgré la montée des préoccupations environnementales et le progrès des technologies de communication, American Express Business Travel révèle que, pour beaucoup de salariés européens, le voyage d'affaires fait partie intégrante de la vie professionnelle. Selon la dernière enquête «Loves and Hates»du groupe, 93 % des grands voyageurs s'attendent à se déplacer aussi souvent qu'en 2007. Ces déplacements semblent perçus comme une nécessité professionnelle imposée par des formations (46 %), des congrès et séminaires (46 %), ou des réunions avec les clients à travers le monde (43 %) et beaucoup moins comme un symbole de statut.
Près des deux tiers des voyageurs d’affaires admettent également qu’ils aiment voyager à titre professionnel, les niveaux de satisfaction augmentant parmi ceux qui voyagent le plus souvent à l’étranger. Ils sont également deux tiers à considérer les voyages d’affaires comme l’occasion de voir le monde et d’élargir leurs horizons.
En dehors des préoccupations quotidiennes des voyageurs individuels, l’étude a aussi mis en évidence l’importance du respect de la politique de voyage de l’entreprise. Il en ressort également que 60 % des entreprises ont instauré une forme quelconque de politique de voyage d’affaires écrite, même si celle-ci ne peut être considérée comme complète et formalisée que dans 32 % des cas.
Près des deux tiers des voyageurs d’affaires admettent également qu’ils aiment voyager à titre professionnel, les niveaux de satisfaction augmentant parmi ceux qui voyagent le plus souvent à l’étranger. Ils sont également deux tiers à considérer les voyages d’affaires comme l’occasion de voir le monde et d’élargir leurs horizons.
En dehors des préoccupations quotidiennes des voyageurs individuels, l’étude a aussi mis en évidence l’importance du respect de la politique de voyage de l’entreprise. Il en ressort également que 60 % des entreprises ont instauré une forme quelconque de politique de voyage d’affaires écrite, même si celle-ci ne peut être considérée comme complète et formalisée que dans 32 % des cas.
