Le réalisme économique a ses lois qui conduit les compagnies à réaménager leur programme de vols en fonction des taux de remplissage. C’est ainsi qu’Air France suspend sa liaison avec Jakarta à partir du 28 mars prochain.
Les liaisons avec l’Asie ne sont pas toutes rentables et le pragmatisme impose d’adapter son programme de vol à la réalité des marchés, quitte à obliger les voyageurs d’affaires à réaliser des escales. Ainsi Air France mettra fin à sa liaison avec Jakarta à la saison été de l’aérien, qui débute le 28 mars prochain. Après la suppression de la ligne directe pour Kuala Lumpur lors du programme d'hiver 2015-2016, c’est sa deuxième suppression de ligne avec une capitale étrangère en 6 mois.
Aujourd’hui le vol quotidien pour Jakarta s’effectue via Singapour pour Air France. A partir du 28 mars, le vol pour Singapour reste en vigueur mais il faudra effectuer la fin du parcours avec Singapore Airlines ou Garuda Indonesia, partenaire au sein de l’alliance SkyTeam. Autre option, un Paris-Amsterdam pour emprunter KLM avec cette fois une escale à Kuala Lumpur. Les Parisiens pourront également passer de Paris vers l’Asie via le Golfe et compter sur Qatar Airways, Emirates, Etihad Airways ou Oman Air pour effectuer le trajet.
Air France joue ainsi le réalisme, mais prend des risques. Même s’ils apprécient les liaisons directe, les voyageurs d’affaires risquent de prendre goût à des escales via l’étranger.
Aujourd’hui le vol quotidien pour Jakarta s’effectue via Singapour pour Air France. A partir du 28 mars, le vol pour Singapour reste en vigueur mais il faudra effectuer la fin du parcours avec Singapore Airlines ou Garuda Indonesia, partenaire au sein de l’alliance SkyTeam. Autre option, un Paris-Amsterdam pour emprunter KLM avec cette fois une escale à Kuala Lumpur. Les Parisiens pourront également passer de Paris vers l’Asie via le Golfe et compter sur Qatar Airways, Emirates, Etihad Airways ou Oman Air pour effectuer le trajet.
Air France joue ainsi le réalisme, mais prend des risques. Même s’ils apprécient les liaisons directe, les voyageurs d’affaires risquent de prendre goût à des escales via l’étranger.
