Le « door to door » simplifié et étendu fera-t-il la différence dans l’univers des SBT ? KDS en est persuadé avec le lancement le 16 juillet prochain de la version 16.3. Elle regroupera pour la première fois l’ensemble des fonctionnalités au sein d’une interface utilisateur unique, très graphique, qui s’appuie sur celle présentée avec NEO il y a trois ans.
Retrouver pour ses voyages professionnels les outils utilisés pour les voyages personnels, l’idée qui a servi au développement de NEO s’étoffe. "Il faut donner à l’utilisateur toutes les informations qu’il veut pour son voyage d’affaires tout en assurant sa sécurité et son tracking en cas de problèmes ", souligne Sébastien Parent, Directeur des Avant-Ventes chez KDS, "Au-delà, nous devons anticiper ses besoins avec l’intégration de nouveaux services, que ce soit pour la résa d’un taxi ou d’une table de restaurant ou tout autre service qu’il souhaitera comme la visioconférence par exemple".
Mais ne nous y trompons pas, KDS n’annonce pas une base de données infaillible associée à son SBT mais la possibilité pour chaque entreprise d’enrichir l’outil avec des informations qui lui sont propres. "Si je prends l’exemple d’une réservation de taxi à Bamako, je sais que je pourrais pas forcément la retrouver dans le système mais je pourrais l’ajouter, même si je ne pourrais pas forcément la réserver ou la payer en ligne", détaille Sébastien Parent, "Par contre je sais qu’elle est dans mon planning de voyage et je pourrais insérer la dépense engagée au moment de la note de frais".
Centraliser, ouvrir et s’adapter, voilà les trois verbes clés de cette nouvelle mouture, totalement graphique et paramétrable en fonction des besoins de l’utilisateur. Première grande évolution, le « hub de contenus », qui regroupe et propose, au sein de l’interface utilisateur KDS Neo, la quasi globalité des contenus indispensables pour un voyageur d’affaires. "Nous avons à la fois simplifié l’outil tout en renforçant l’ensemble des modules attendus par l’entreprise", explique Sébastien Parent, "Nous ferons dans quelques semaines des annonces qui viendront enrichir ce hub. Nous avons, avec cette nouvelle version, retravaillé l’ergonomie, la puissance de gestion des informations, les outils de validation ou de reporting, sans oublier des fonctionnalités en matière de recherche d’informations. Nous offrons ainsi le meilleur des deux mondes grâce aux fonctionnalités que l’on peut plugger en fonction de ses besoins".
Au-delà, l’outil optimise deux points forts : la recherche du voyage le plus efficace et du fournisseur le mieux adapté aux attentes économiques ou à la politique voyage. "La construction d’un voyage jusqu’à sa validation permet d’avoir des alertes qui préviennent le voyageur quand il s’éloigne des règles de l’entreprise", remarque Sébastien Parent, "On a là une approche plus resserrée de la dépense et une évidente adaptation aux attentes des acheteurs".
Ce « no touch » va-t-il pour autant faire baisser les fees ? "Non", répond d’emblée Sébastien, "Quand je suis arrivé chez KDS il y a dix ans, le coût d’émission d’un billet était d’environ 10 €. Nous n’en sommes plus là. La techno a fait baisser le montant des fees tout en permettant aux entreprises de gagner du temps et de l’argent sur tous les maillons de la chaîne". KDS reconnait que, pour l’heure, la discussion sur le coût technologique n’est pas à l’ordre du jour avec les TMC. "Nous sommes dans une relation commerciale où chaque point d’entrée compte", détaille rapidement l’éditeur. Et de justifier des développement technologiques avec l’arrivée de Neo Move, le compagnon mobile qui guide l’utilisateur de porte-à-porte tout au long du déplacement.
Outre ses nouveaux produits, KDS a renforcé la fonctionnalité des produits existants, en proposant notamment :
• La gestion des déplacements professionnels de porte-à-porte.
• Un calcul précis du coût global du voyage
• L’identification des dépenses par postes afin d’ajuster une demande de frais avant même qu’un voyageur n’ait effectué son déplacement.
• La gestion des dépenses à partir d’un calendrier qui intègre le contexte des demandes de remboursements de frais par rapport aux voyages et réunions. Cela facilite la saisie et l’édition des notes de frais, supprime les erreurs et accélère remboursement.
Tous les outils au sein d’une plate-forme unique, l’annonce est alléchante. Et les bugs ? "Pas question d’en avoir", affirme en souriant Sébastien, "Nous avons travaillé avec des clients, des agences, des consultants… Bref , nous avons peaufiné le produit avant de le proposer le 16 juillet à tous nos clients dans le monde qui continueront à bénéficier de toutes les fonctionnalités auxquelles ils sont habitués mais qui pourront également tirer profit de fonctionnalités supplémentaires".
En faisant le pari d’une interface unifiée, l’éditeur sait qu’il va dans le sens de l’histoire. Il reste à regarder l’évolution. L’arrivée du bleisure dans les entreprises, la gestion des budgets par business units ou l’ouverture d’un open-booking sécurisé et piloté sont autant d’évolutions que guettent les acheteurs persuadés que le « no touch » pour l’émission des billets est la clé d’économies attendues et demandées.
L’ensemble des clients aura accès automatiquement à la mise à jour de KDS sans coût supplémentaire ni investissement technologique de la part des utilisateurs. L’éditeur annonce un séminaire en ligne autour de la 16.3 le mardi 12 juillet à 15h00 (CEST).
Mais ne nous y trompons pas, KDS n’annonce pas une base de données infaillible associée à son SBT mais la possibilité pour chaque entreprise d’enrichir l’outil avec des informations qui lui sont propres. "Si je prends l’exemple d’une réservation de taxi à Bamako, je sais que je pourrais pas forcément la retrouver dans le système mais je pourrais l’ajouter, même si je ne pourrais pas forcément la réserver ou la payer en ligne", détaille Sébastien Parent, "Par contre je sais qu’elle est dans mon planning de voyage et je pourrais insérer la dépense engagée au moment de la note de frais".
Centraliser, ouvrir et s’adapter, voilà les trois verbes clés de cette nouvelle mouture, totalement graphique et paramétrable en fonction des besoins de l’utilisateur. Première grande évolution, le « hub de contenus », qui regroupe et propose, au sein de l’interface utilisateur KDS Neo, la quasi globalité des contenus indispensables pour un voyageur d’affaires. "Nous avons à la fois simplifié l’outil tout en renforçant l’ensemble des modules attendus par l’entreprise", explique Sébastien Parent, "Nous ferons dans quelques semaines des annonces qui viendront enrichir ce hub. Nous avons, avec cette nouvelle version, retravaillé l’ergonomie, la puissance de gestion des informations, les outils de validation ou de reporting, sans oublier des fonctionnalités en matière de recherche d’informations. Nous offrons ainsi le meilleur des deux mondes grâce aux fonctionnalités que l’on peut plugger en fonction de ses besoins".
Au-delà, l’outil optimise deux points forts : la recherche du voyage le plus efficace et du fournisseur le mieux adapté aux attentes économiques ou à la politique voyage. "La construction d’un voyage jusqu’à sa validation permet d’avoir des alertes qui préviennent le voyageur quand il s’éloigne des règles de l’entreprise", remarque Sébastien Parent, "On a là une approche plus resserrée de la dépense et une évidente adaptation aux attentes des acheteurs".
Ce « no touch » va-t-il pour autant faire baisser les fees ? "Non", répond d’emblée Sébastien, "Quand je suis arrivé chez KDS il y a dix ans, le coût d’émission d’un billet était d’environ 10 €. Nous n’en sommes plus là. La techno a fait baisser le montant des fees tout en permettant aux entreprises de gagner du temps et de l’argent sur tous les maillons de la chaîne". KDS reconnait que, pour l’heure, la discussion sur le coût technologique n’est pas à l’ordre du jour avec les TMC. "Nous sommes dans une relation commerciale où chaque point d’entrée compte", détaille rapidement l’éditeur. Et de justifier des développement technologiques avec l’arrivée de Neo Move, le compagnon mobile qui guide l’utilisateur de porte-à-porte tout au long du déplacement.
Outre ses nouveaux produits, KDS a renforcé la fonctionnalité des produits existants, en proposant notamment :
• La gestion des déplacements professionnels de porte-à-porte.
• Un calcul précis du coût global du voyage
• L’identification des dépenses par postes afin d’ajuster une demande de frais avant même qu’un voyageur n’ait effectué son déplacement.
• La gestion des dépenses à partir d’un calendrier qui intègre le contexte des demandes de remboursements de frais par rapport aux voyages et réunions. Cela facilite la saisie et l’édition des notes de frais, supprime les erreurs et accélère remboursement.
Tous les outils au sein d’une plate-forme unique, l’annonce est alléchante. Et les bugs ? "Pas question d’en avoir", affirme en souriant Sébastien, "Nous avons travaillé avec des clients, des agences, des consultants… Bref , nous avons peaufiné le produit avant de le proposer le 16 juillet à tous nos clients dans le monde qui continueront à bénéficier de toutes les fonctionnalités auxquelles ils sont habitués mais qui pourront également tirer profit de fonctionnalités supplémentaires".
En faisant le pari d’une interface unifiée, l’éditeur sait qu’il va dans le sens de l’histoire. Il reste à regarder l’évolution. L’arrivée du bleisure dans les entreprises, la gestion des budgets par business units ou l’ouverture d’un open-booking sécurisé et piloté sont autant d’évolutions que guettent les acheteurs persuadés que le « no touch » pour l’émission des billets est la clé d’économies attendues et demandées.
L’ensemble des clients aura accès automatiquement à la mise à jour de KDS sans coût supplémentaire ni investissement technologique de la part des utilisateurs. L’éditeur annonce un séminaire en ligne autour de la 16.3 le mardi 12 juillet à 15h00 (CEST).
