C’est ce mardi 16 septembre que RFF devrait être mis en examen dans le cadre de l’accident de Brétigny. La SNCF devrait suivre jeudi.
Cette étape juridique logique conduira les deux entreprises à se retrouver mises en examen pour « homicides et blessures involontaires par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de prudence ou de sécurité imposée par la loi ». La SNCF - qui a décidé de jouer la transparence totale avec ses clients - a mis la convocation en ligne sur son site et devrait informer le grand public en temps réel sur les suites de cette affaire.
Guillaume Pépy a confirmé que tous les éléments techniques seraient fournis à la justice et que la SNCF, par cette mise en examen, accéderait à un dossier dont elle ne connaît pas précisément le contenu. Pour Thierry Gomes, le président de l'association "Entraide et défense des victimes de la catastrophe de Brétigny", «Il est temps que toute la lumière soit faite sur un accident qui aurait pu être évité avec un minimum de maintenance».
Guillaume Pépy a confirmé que tous les éléments techniques seraient fournis à la justice et que la SNCF, par cette mise en examen, accéderait à un dossier dont elle ne connaît pas précisément le contenu. Pour Thierry Gomes, le président de l'association "Entraide et défense des victimes de la catastrophe de Brétigny", «Il est temps que toute la lumière soit faite sur un accident qui aurait pu être évité avec un minimum de maintenance».
