Après 10 ans de travaux et de tribulations derrière les palissades, c'est ce mercredi 21 mars qu'est inaugurée la Gare Saint-Lazare new look. Un vrai printemps pour les 450 000 voyageurs qui empruntent chaque jour ses couloirs et sa fameuse salle des pas perdus.
Trois étages d'un espace commercial qui accueille 80 boutiques, une verrière totalement refaite au dessus de l'immense salle des pas perdus inondée de lumière (et enfin dotée de bancs), des couloirs modernisés et une signalisation refaite (avec pictogrammes), la nouvelle Gare Saint-Lazare a gagné en propreté et en modernité. En boutiques, aussi : de nombreux espaces de restauration rapide, des boutiques de service (pharmacie et laboratoire médical), des enseignes de textile (Petit Bateau, Lacoste, Guess,...) et un Virgin Megastore comptent faire de cet espace un lieu vivant, au delà de la simple desserte des grandes lignes ou des lignes de banlieue qui entrent ici dans Paris. Pour l'heure, un problème d'autorisations administratives va sans doute laisser les boutiques portes closes pendant quelques jours encore, même si elles piaffent d'impatience.
C'est une filiale de la SNCF, Gares et connexions, qui a assumé le suivi du chantier, mais elle n'a investi que 90 des 250 millions d'euros investis. Elle a été aidée par les collectivités locales pour les investissements de rénovation et mises aux normes d'accessibilités des gares mais aussi en partenariat public-privé par la société Klépierre, son partenaire depuis 1996. Il restera à finir ensuite le parvis, encore couvert d'un radier en béton, mais les voyageurs laissent déjà filtrer leur satisfaction devant la fin de ces travaux interminables.
C'est une filiale de la SNCF, Gares et connexions, qui a assumé le suivi du chantier, mais elle n'a investi que 90 des 250 millions d'euros investis. Elle a été aidée par les collectivités locales pour les investissements de rénovation et mises aux normes d'accessibilités des gares mais aussi en partenariat public-privé par la société Klépierre, son partenaire depuis 1996. Il restera à finir ensuite le parvis, encore couvert d'un radier en béton, mais les voyageurs laissent déjà filtrer leur satisfaction devant la fin de ces travaux interminables.
