CWT analyse les paiements virtuels

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Présentée comme un "livre blanc", qui tient surtout de la plaquette explicative (5 pages au total), la dernière étude de Carlson Wagonlit Travel analyse les changements exigés par la digitalisation de la gestion des voyages d’affaires. Principal point clé de cette évolution, le paiement virtuel autour d’une carte de crédit à utilisation unique associée à un code instantanée et qui permet une facturation centralisée.

La solution est loin d’être nouvelle. Bousculée par une dématérialisation de plus en plus présente, les cartes virtuelles s’opposent aux comptes logées dont l’acceptation grandissante par les fournisseurs permet la mise en place du fameux déplacement "sans argent" que visent bon nombre de sociétés, quellke que soit leur taille..

Clive Cornelius, Senior Director, Global Card Products de Carlson Wagonlit Travel reste confiant dans la montée en puissance de l’outil : "Le paiement virtuel utilise un identifiant unique, permettant à la fois l’identification et le suivi de la transaction et les abus frauduleux. Cette solution de paiement digital est une option sécurisée pour les entreprises qui cherchent à centraliser les paiements, réduire les inefficiences de paiements, les dettes et les éventuels abus de cartes d’entreprise - ce qui apporte une plus grande flexibilité aux employeurs".

Il est vrai que le paiement virtuel permet de repenser sa politique de paiement et son intégration dans les outils de gestion de l’entreprise. Concrètement, tous les employés qui voyagent n’ont pas forcément de carte de crédit d’entreprise. Il permet également aux entreprises de personnaliser de nombreux paramètres, notamment les limites de crédit, les dates et les lieux d'utilisation afin de diminuer la fraude. Enfin, la configuration du paiement virtuel peut être limitée uniquement aux achats permis dans la politique voyages de l'entreprise.

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