Le TGV qui devait effectuer la liaison entre Nice et Paris le 3 avril 2012 a connu un retard de 10 heures dont 5 heures bloqué dans un tunnel à cause d’une panne électrique. Finalement parvenus en gare de Lyon à 9h20 le 4 avril, une grande partie des 680 passagers descendus à Paris a déploré le manque de communication de la compagnie ferroviaire pendant la durée de leur arrêt dans le tunnel.
Dix heures de retard pour le TGV Nice-Paris parti de la Côte d’Azur à 18h06 le mardi 3 avril 2012. Victime d’une panne d'origine électrique, le train s’est retrouvé bloqué avec tous ses passagers dans un tunnel à la sortie de Marseille vers 21h30. Les voyageurs ont dû patienter pendant plus de 5 heures sans aération, ni climatisation, ni réseau téléphonique avant d’être secourus. Face à la chaleur, au manque d’air et d’information, les esprits dans le train se sont échauffés et au lendemain de la mésaventure, les passagers évoquent un début de panique dans les rames et des contrôleurs dépassés. Le train toujours bloqué… les pompiers ont été appelés afin d’intervenir. Mais avant de pouvoir quitter leur wagon, les voyageurs ont dû attendre une nouvelle rame assez grande pour les accueillir. Le transbordement a ainsi pu commencer vers 1h30.
Arrivés à la gare de Lyon à 9h20, le mercredi 4 avril, les voyageurs ont été accueillis avec des petits déjeuners et boissons chaudes ainsi qu’une enveloppe pour qu’ils puissent demander le double remboursement de leur billet. Il reste qu'une enquête interne a été ouverte et que le Ministre des Transports veut désormais des réponses rapides sur les dysfonctionnements majeurs rencontrés pendant cet incident.
Arrivés à la gare de Lyon à 9h20, le mercredi 4 avril, les voyageurs ont été accueillis avec des petits déjeuners et boissons chaudes ainsi qu’une enveloppe pour qu’ils puissent demander le double remboursement de leur billet. Il reste qu'une enquête interne a été ouverte et que le Ministre des Transports veut désormais des réponses rapides sur les dysfonctionnements majeurs rencontrés pendant cet incident.
