Les appels à la solidarité, lancés tout le week-end par les politiques, semblent avoir été entendus. Premier à proposer une sortie honorable : Didier le Reste, Secrétaire Général de la CGT Cheminots, qui sur RMC a reconnu que l'on allait "vers une suspension de la grève".
Il faut bien constater que l'issu de ce conflit était loin d'être évidente pour les syndicats qui n'avaient pas réussi à faire plier la direction. Petit à petit, les cheminots reprenaient le travail en considérant dans beaucoup de dépôts que "la finalité de cette grève devenait confuse, jour après jour".
Reste qu'aujourd'hui, il faut anticiper et préparer la reprise. Outre la remise en route de tous les trains réguliers, il va falloir envisager la mise en place de trains spéciaux pour rapatrier les voyageurs toujours bloqués dans le sud est de la France.
Selon les experts, il faudra 72 heures pour que toute la mécanique se remette en place. Prochaine étape, une rencontre entre les syndicats et la direction pour renouer le fil du dialogue social.
Reste qu'aujourd'hui, il faut anticiper et préparer la reprise. Outre la remise en route de tous les trains réguliers, il va falloir envisager la mise en place de trains spéciaux pour rapatrier les voyageurs toujours bloqués dans le sud est de la France.
Selon les experts, il faudra 72 heures pour que toute la mécanique se remette en place. Prochaine étape, une rencontre entre les syndicats et la direction pour renouer le fil du dialogue social.
