La grogne annoncée chez les hôtesses et stewards de KLM se confirme et s’exprimera par une grève du zèle exercée du mercredi 12 au vendredi 14 octobre inclus, à l’appel du syndicat FNV, pour protester contre la suppression d’un membre d’équipage sur certains vols longs-courriers.
Une grève du zèle n’entraine pas a priori d’annulations de vols mais il y aura certainement des retards car le syndicat FNV invite les personnels navigants à appliquer "strictement" les procédures prévues, avec notamment "une attention particulière" aux briefings avant les vols et aux contrôles de la cabine avant les départs.
Le syndicat exprime ainsi sa grogne après la décision de la compagnie de supprimer, à compter du 30 octobre prochain, un personnel à bord des appareils de 300 passagers sur les vols longs courriers. Environ 40% des vols longs courriers de la compagnie seraient concernés, avec pour objectif de parvenir à améliorer la productivité des PNC d’environ 4% dans le cadre du Plan Perform 2020. "Cette décision unilatérale augmente considérablement la charge de travail à bord, et met les PNC sous pression pour le service aux passagers", explique le secrétaire général du syndicat dans un communiqué. "Nous pensons que c’est une mauvaise décision. Une décision qui n’est pas bonne pour l’équipage de cabine, pas bonne pour KLM, et certainement pas bonne pour les passagers", explique Zakaria Boufangacha. KLM, en déplorant cette action, affirme qu’elle n’aura "aucune incidence" sur ses opérations.
Le syndicat exprime ainsi sa grogne après la décision de la compagnie de supprimer, à compter du 30 octobre prochain, un personnel à bord des appareils de 300 passagers sur les vols longs courriers. Environ 40% des vols longs courriers de la compagnie seraient concernés, avec pour objectif de parvenir à améliorer la productivité des PNC d’environ 4% dans le cadre du Plan Perform 2020. "Cette décision unilatérale augmente considérablement la charge de travail à bord, et met les PNC sous pression pour le service aux passagers", explique le secrétaire général du syndicat dans un communiqué. "Nous pensons que c’est une mauvaise décision. Une décision qui n’est pas bonne pour l’équipage de cabine, pas bonne pour KLM, et certainement pas bonne pour les passagers", explique Zakaria Boufangacha. KLM, en déplorant cette action, affirme qu’elle n’aura "aucune incidence" sur ses opérations.
