La compagnie low-cost irlandaise invite les voyageurs «distraits» à utiliser son service SMS, qui leur permet de recevoir leurs informations de réservation sur leur mobile. Un service payant – 1 euro – par l’intermédiaire duquel Ryanair entend répondre aux condamnations qui visent sa clause tarifaire sur l’impression des billets.
Condamnée en janvier dernier par un tribunal catalan, qui jugeait abusif le tarif imposé (40 euros) pour l’impression des cartes d’embarquement, Ryanair ne rend pas les armes pour autant. Dans un communiqué publié ce jeudi, la compagnie irlandaise «conseille fortement aux passagers distraits de souscrire au service de confirmation par SMS pour s’enregistrer en ligne (entre 14 jours et 4 heures avant le voyage) et s’assurer qu’ils n’arriveront jamais à l’aéroport sans leur carte d’embarquement imprimée au préalable, et ainsi ne jamais payer la pénalité de 40 euros liée à l’impression d’une nouvelle carte d’embarquement».
Une sorte de piqûre de rappel en somme, qui ne règle pas le problème pour autant : les passagers très «distraits» devront toujours payer la somme de 40 euros s’ils ne disposent pas de leur carte d'embarquement imprimée au préalable. Pas sûr que la justice catalane capitule par texto.
Une sorte de piqûre de rappel en somme, qui ne règle pas le problème pour autant : les passagers très «distraits» devront toujours payer la somme de 40 euros s’ils ne disposent pas de leur carte d'embarquement imprimée au préalable. Pas sûr que la justice catalane capitule par texto.
