Le PDG d’Air France-KLM, Jean-Marc Janaillac était l’invité du Club de l’économie du « Monde », mercredi 18 octobre. L'occasion de revendiquer une position de n°1 sur l'axe transatlantique, de définir ses ambitions pour Alitalia ou encore, à propos d'Alitalia, de dire que la compagnie ne l'intéresse plus.
L'alliance d'Air France KLM avec Delta Air Lines et Cjhina Eastern est bien entendu l'un des premiers sujets de l'entretien accordé par Jean-Marc Janaillac au Monde. Le patron du groupe affirme sa confiance dans sa stratégie et souligne qu'il lui "fallait des alliés pour pénétrer dans les villes secondaires des Etats-Unis et de Chine".
A propos de Joon, la nouvelle compagnie du groupe, il argumente que c'est une nouvelle force pour conquérir de nouveaux marchés, "avec des coûts inférieurs, une marque et un style bien différenciés", argument plusieurs fois présenté.
L'essentiel de cet entretien rapporté par le journal réside peut-être dans sa dernière question. Interrogé à propos d'Alitalia, pour laquelle Air France KLM n'a pas présenté de dossier de reprise, Jean- Marce janaillac a cette réponse très sèche : "Alitalia ne nous intéresse pas, même à la casse, car elle a déjà coûté quelques centaines de millions d’euros à KLM puis à Air France. Nous n’avons pas regardé le dossier car nous avons déjà une position assez importante en Italie". Circulez, il n'y a rien à voir.
A propos de Joon, la nouvelle compagnie du groupe, il argumente que c'est une nouvelle force pour conquérir de nouveaux marchés, "avec des coûts inférieurs, une marque et un style bien différenciés", argument plusieurs fois présenté.
L'essentiel de cet entretien rapporté par le journal réside peut-être dans sa dernière question. Interrogé à propos d'Alitalia, pour laquelle Air France KLM n'a pas présenté de dossier de reprise, Jean- Marce janaillac a cette réponse très sèche : "Alitalia ne nous intéresse pas, même à la casse, car elle a déjà coûté quelques centaines de millions d’euros à KLM puis à Air France. Nous n’avons pas regardé le dossier car nous avons déjà une position assez importante en Italie". Circulez, il n'y a rien à voir.
