La crise continue à peser sur le chiffre d’affaires de la SNCF, en recul de 2,6% sur les neuf premiers mois de l’année. La branche SNCF Voyages, qui regroupe l’activité sur les grandes lignes (trains à réservation), a reculé de 1,7% "seulement", précise la compagnie des chemins de fer qui met cette quasi stabilité sur […]
La crise continue à peser sur le chiffre d'affaires de la SNCF, en recul de 2,6% sur les neuf premiers mois de l'année. La branche SNCF Voyages, qui regroupe l'activité sur les grandes lignes
(trains à réservation), a reculé de 1,7% "seulement", précise la compagnie des chemins de fer qui met cette quasi stabilité sur le compte des promotions, qui ont permis de soutenir l'activité. Mais pas la rentabilité. Mais le plus gros du recul de chiffre d'affaires provient de la chute continue des activités frêt, en recul de 13% , en raison de la "baisse des volumes traités", explique la SNCF dans un communiqué. Et le recul atteindrait même 18,7% si la compagnie n'avait pas racheté un groupe logistique américain, IBM Global Logistics, qui a amélioré les résultats. La SNCF précise que le recul de l'activité s'est ralenti au 3e trimestre. Le bout du tunnel ?
(trains à réservation), a reculé de 1,7% "seulement", précise la compagnie des chemins de fer qui met cette quasi stabilité sur le compte des promotions, qui ont permis de soutenir l'activité. Mais pas la rentabilité. Mais le plus gros du recul de chiffre d'affaires provient de la chute continue des activités frêt, en recul de 13% , en raison de la "baisse des volumes traités", explique la SNCF dans un communiqué. Et le recul atteindrait même 18,7% si la compagnie n'avait pas racheté un groupe logistique américain, IBM Global Logistics, qui a amélioré les résultats. La SNCF précise que le recul de l'activité s'est ralenti au 3e trimestre. Le bout du tunnel ?
