La limitation des routes secondaires à 80 km/h au lieu de 90km/h aurait un nouveau partisan. L'une des commissions du Conseil national de la sécurité routière (CNSR) devrait recommander ce 26 mars 2014, lors d’une réunion à Paris, de réduire sur ce réseau la vitesse maximale autorisée de 10 km/h.
Selon une source proche du dossier, la commission "alcool, stupéfiants, vitesse" du CNSR se prononcer en faveur d’une limitation de vitesse à 80 km/h sur l'ensemble du réseau bidirectionnel (à deux voies) actuellement de 90 km/h. Les spécialistes assure qu’une telle mesure éviterait 450 morts par sur ce type de route.
La proposition sera présentée au CNSR ce 26 mars 2014. Si elle est approuvée par l’instance, elle pourra être soumise au ministre de l'Intérieur lors d’une réunion le 16 mai prochain. Manuel Valls qui avait déjà évoqué un tel projet en janvier, pourra alors la suivre ou non.
En outre, la commission ASV préconise d’encourager les conducteurs à prendre les autoroutes via des mesures tarifaires sur le prix des péages car ces routes offrent des «conditions de sécurité et un taux d'accidentalité meilleurs». Elle propose également de prévoir «une période de communication intensive à l'application de la mesure afin d'en assurer la pédagogie» et d'appliquer la mesure à la même date sur tout l'Hexagone «pour d'évidentes raisons de lisibilité et d'efficacité». Elle recommande également que le Comité des experts du CNSR participe à la réflexion sur les modalités de déploiement de la nouvelle règle pour permettre «une évaluation rigoureuse de l'efficacité de la mesure».
La proposition sera présentée au CNSR ce 26 mars 2014. Si elle est approuvée par l’instance, elle pourra être soumise au ministre de l'Intérieur lors d’une réunion le 16 mai prochain. Manuel Valls qui avait déjà évoqué un tel projet en janvier, pourra alors la suivre ou non.
En outre, la commission ASV préconise d’encourager les conducteurs à prendre les autoroutes via des mesures tarifaires sur le prix des péages car ces routes offrent des «conditions de sécurité et un taux d'accidentalité meilleurs». Elle propose également de prévoir «une période de communication intensive à l'application de la mesure afin d'en assurer la pédagogie» et d'appliquer la mesure à la même date sur tout l'Hexagone «pour d'évidentes raisons de lisibilité et d'efficacité». Elle recommande également que le Comité des experts du CNSR participe à la réflexion sur les modalités de déploiement de la nouvelle règle pour permettre «une évaluation rigoureuse de l'efficacité de la mesure».
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