Les ennuis d’Abdelwahid Bouabdallah à la tête de la compagnie algérienne prennent une nouvelle ampleur. Douze sections syndicales de l’entreprise ont officiellement demandé mercredi son départ immédiat. Ils évoquent «un comportement irresponsables», et dénoncent les «menaces et les injures» dont seraient victimes les salariés de la compagnie.
Le « faux-départ » d’Abdelwahid Bouabdallah, annoncé à tort dans certains médias puis démenti au début du mois de mars, avait déjà donné le ton quant à l’ambiance mouvementée à la tête d’Air Algérie. Si le PDG de l’entreprise avait alors dénoncé un «complot» fomenté par de hauts responsables, c’est aujourd’hui une véritable mutinerie qui s’attaque au fauteuil de M. Bouabdallah.
«Le départ de Abdelwahid Bouabdallah de la compagnie Air Algérie devient irrévocable et indiscutable pour les travailleurs», indique un communiqué relayé jeudi par la rédaction du quotidien El Watan, signé par les responsable de douze sections syndicales. Ces derniers réclament «à cor et à cri le départ immédiat et inconditionnel du PDG d’Air Algérie». Ils dénoncent, pêle-mêle, l’ingérence d’Abdelwahid Bouabdallah dans les affaires syndicales, sa maltraitance à l’égard des travailleurs qu’ils menacerait et injurierait, et sa mauvaise gestion de la compagnie. Déjà fragilisé par les évènements de début du mois, le PDG d’Air Algérie pourra t-il résister à cette nouvelle mise en cause ?
«Le départ de Abdelwahid Bouabdallah de la compagnie Air Algérie devient irrévocable et indiscutable pour les travailleurs», indique un communiqué relayé jeudi par la rédaction du quotidien El Watan, signé par les responsable de douze sections syndicales. Ces derniers réclament «à cor et à cri le départ immédiat et inconditionnel du PDG d’Air Algérie». Ils dénoncent, pêle-mêle, l’ingérence d’Abdelwahid Bouabdallah dans les affaires syndicales, sa maltraitance à l’égard des travailleurs qu’ils menacerait et injurierait, et sa mauvaise gestion de la compagnie. Déjà fragilisé par les évènements de début du mois, le PDG d’Air Algérie pourra t-il résister à cette nouvelle mise en cause ?
