Les jours se suivent… tout comme le lancement des prolongements des lignes du tramway parisien. Après le T1, c’est le T2 qui voit plus loin depuis le 19 novembre 2012. Formule pratique pour éviter les embouteillages de la petite ceinture parisienne, les voyageurs d’affaires de la Défense peuvent maintenant l'utiliser pour rejoindre le Val d’Oise, et inversement.
Le tramway T2 est prolongé de 4,2 kilomètres au nord entre La Défense et Bezons avec sept nouvelles stations. Il traverse quatre nouvelles communes dans les Hauts-de-Seine (Courbevoie, La Garenne-Colombes, Colombes et Nanterre) et une dans le Val d’Oise (Bezons). Le nouveau tronçon permet d’accueillir plus de 58 000 voyageurs par jour, selon la RATP.
Le T2 circule de 5 heures à une heure, tous les jours de l’année. La fréquence de la rame est de 4 minutes en périodes de pointe (7 à 8 minutes aux heures creuses). Les 17,9 km du tracé complet du T2, entre la Porte de Versailles et la station Pont de Bezons, sont alors parcourus en 45 minutes.
Le prolongement du tramway T2 La Défense-Bezons est une opération inscrite dans le cadre du Contrat de projets État-Région 2007-2013, qui participe au développement des transports en Ile-de-France, respectueux de l’environnement et de l’aménagement urbain. L’enveloppe pour les travaux a été de 223,50 m€, partagée entre les Conseils généraux des Hauts-de-Seine et du Val d’Oise, la Région Ile de France la RATP et l’État.
Le T2 circule de 5 heures à une heure, tous les jours de l’année. La fréquence de la rame est de 4 minutes en périodes de pointe (7 à 8 minutes aux heures creuses). Les 17,9 km du tracé complet du T2, entre la Porte de Versailles et la station Pont de Bezons, sont alors parcourus en 45 minutes.
Le prolongement du tramway T2 La Défense-Bezons est une opération inscrite dans le cadre du Contrat de projets État-Région 2007-2013, qui participe au développement des transports en Ile-de-France, respectueux de l’environnement et de l’aménagement urbain. L’enveloppe pour les travaux a été de 223,50 m€, partagée entre les Conseils généraux des Hauts-de-Seine et du Val d’Oise, la Région Ile de France la RATP et l’État.
