La présentation du plan de relance des investissements, le 8 avril 2015, a révélé une bonne surprise. Le gouvernement a été à l'encontre des conclusions du groupe de travail sur les tarifs autoroutiers. Le Premier ministre Manuel Valls a annoncé le gel des prix des péages pour 2015.
Alors que le groupe de travail dédié réclamait une hausse des péages de à,57%, Manuel Valls a annoncé mercredi que les tarifs des autoroutes n'augmenteraient pas en 2015. Lors de la présentation du plan de relance de l'investissement des entreprises le 8 avril, il a indiqué que les discussions toujours en cours avec les sociétés d'autoroutes «se traduisent (...) par 500 millions d'investissements supplémentaires dans les infrastructures et les projets de transports (...) sans hausse des tarifs de péages en 2015». Cette participation sur 3 ans se compose de 300 millions à l'AFITF et 200 millions versés sur un compte de la Caisse des dépôts.
Ségolène Royal, la ministre de Ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, a en outre exclu la possibilité d'une compensation de ce gel en 2016 lors de la séance des questions d'actualité à l'Assemblée nationale.
De plus, l’État et les concessionnaires discutent également d'un plan de relance autoroutier. Selon ses termes, les sociétés d'autoroutes investiraient 3,2 milliards d'euros en échange d'un allongement de deux à quatre ans de la durée de leurs concessions. Manuel Valls a indiqué «Les discussions en cours avec les sociétés d'autoroutes, avec Ségolène Royal et Emmanuel Macron (ministre de l’Économie), sont en train d'aboutir, les travaux doivent être lancés au plus vite».
Il semble néanmoins rester plusieurs points d'accrochage entre les différents acteurs. Si le gouvernement souhaite que la contribution soit versée sur 3 ans, les entreprises d'autoroutes veulent l'étaler jusqu'à la fin de leurs concessions soit jusqu'aux années 2030.
Ségolène Royal, la ministre de Ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, a en outre exclu la possibilité d'une compensation de ce gel en 2016 lors de la séance des questions d'actualité à l'Assemblée nationale.
De plus, l’État et les concessionnaires discutent également d'un plan de relance autoroutier. Selon ses termes, les sociétés d'autoroutes investiraient 3,2 milliards d'euros en échange d'un allongement de deux à quatre ans de la durée de leurs concessions. Manuel Valls a indiqué «Les discussions en cours avec les sociétés d'autoroutes, avec Ségolène Royal et Emmanuel Macron (ministre de l’Économie), sont en train d'aboutir, les travaux doivent être lancés au plus vite».
Il semble néanmoins rester plusieurs points d'accrochage entre les différents acteurs. Si le gouvernement souhaite que la contribution soit versée sur 3 ans, les entreprises d'autoroutes veulent l'étaler jusqu'à la fin de leurs concessions soit jusqu'aux années 2030.
