Les employés de One Fleet Service, chargés du nettoyage des avions sur Brussels Airport, sont en grève depuis le 5 février 2014. Ils réclament de meilleures conditions de travail et dénoncent des problèmes de salaires.
Les employés de One Fleet Service, sous traitant d’Aviapartner, ont stoppé le travail depuis le 5 février 2014. Selon leur employeur, leur mouvement n’a pas de répercutions sur les vols de l’aéroport belge. Selon l’organisation syndicale FGTB, la direction ferait appel à des intérimaires pour remplacer les grévistes.
Les salariés ont entamé une action à cause des problèmes salariaux mais également d’organisation observés dans leur entreprise. «La situation s'est dégradée depuis le 1er janvier et aujourd'hui, les travailleurs doivent se passer de vestiaires, de cantines et de gants de nettoyage parce qu'Aviapartner souhaite faire des économies sur le service de nettoyage», a confié Dominique Fervaille de FGTB à l’agence Belga, le 6 février.
Les grévistes dénoncent également le manque de personnel lors du nettoyage des appareils alors que les trois quarts des salariés sont en chômage économique. Le syndicat FGTB a demandé une conciliation. Mais il a d’ores et déjà prévenu que s'il n’obtenait pas d'avancées, il étendrait son mouvement aux autres sites de l’entreprise comme ceux chargés du nettoyage des trains SNCB.
Les salariés ont entamé une action à cause des problèmes salariaux mais également d’organisation observés dans leur entreprise. «La situation s'est dégradée depuis le 1er janvier et aujourd'hui, les travailleurs doivent se passer de vestiaires, de cantines et de gants de nettoyage parce qu'Aviapartner souhaite faire des économies sur le service de nettoyage», a confié Dominique Fervaille de FGTB à l’agence Belga, le 6 février.
Les grévistes dénoncent également le manque de personnel lors du nettoyage des appareils alors que les trois quarts des salariés sont en chômage économique. Le syndicat FGTB a demandé une conciliation. Mais il a d’ores et déjà prévenu que s'il n’obtenait pas d'avancées, il étendrait son mouvement aux autres sites de l’entreprise comme ceux chargés du nettoyage des trains SNCB.
