Air France n'est pas la seule compagnie européenne à faire face à une grève. Les pilotes suédois de SAS ont également entamé un mouvement social le vendredi 11 juin après l'échec des négociations salariales.
Les négociations salariales menées entre SAS et ses pilotes suédois ont échoué et les navigants ont lancé une grève vendredi. La compagnie a dû annuler sur 159 vols samedi et 220 dimanche sur son programme suédois, affectant respectivement plus de 46 000 personnes sur ces deux jours.
"Nous avons fait tout ce qui était en notre pouvoir pour empêcher une grève, mais nous n'avons malheureusement pas été en mesure de parvenir à un accord", a expliqué la porte-parole de SAS, Karin Nyman, dans un communiqué. "Notre priorité est actuellement de nous occuper de nos clients et nous œuvrons à faire tout ce que nous pouvons pour aider les passagers affectés" par la grève, a-t-elle ajouté.
Les long-courriers entre la Suède et les USA ou l'Asie ne sont pas affectés par le mouvement tout comme les liaisons assurées par les pilotes danois et norvégiens de SAS.
Il est conseillé aux voyageurs d'affaires de vérifier le statut de leur vol avant de se rendre à l'aéroport.
Les navigants suédois qui souhaitent une hausse de rémunération de 3,5%, ont refusé l'offre d'une augmentation de 2,2% proposée par les médiateurs.
"Nous avons fait tout ce qui était en notre pouvoir pour empêcher une grève, mais nous n'avons malheureusement pas été en mesure de parvenir à un accord", a expliqué la porte-parole de SAS, Karin Nyman, dans un communiqué. "Notre priorité est actuellement de nous occuper de nos clients et nous œuvrons à faire tout ce que nous pouvons pour aider les passagers affectés" par la grève, a-t-elle ajouté.
Les long-courriers entre la Suède et les USA ou l'Asie ne sont pas affectés par le mouvement tout comme les liaisons assurées par les pilotes danois et norvégiens de SAS.
Il est conseillé aux voyageurs d'affaires de vérifier le statut de leur vol avant de se rendre à l'aéroport.
Les navigants suédois qui souhaitent une hausse de rémunération de 3,5%, ont refusé l'offre d'une augmentation de 2,2% proposée par les médiateurs.
