Les taxis qui desservent l'aéroport d'Ottawa sont en conflit avec Coventry Connections depuis plus de 6 semaines à propos des redevances versées par les chauffeurs. La grogne s'est traduit plusieurs fois par des blocages des rues voisines de la plate-forme, mais la justice canadienne interdit maintenant aux grévistes de manifester près de l'installation.
L'accès à l'aéroport d'Ottawa devrait être plus simple ces prochaines semaines. La Cour supérieure de l'Ontario, saisie par l'installation et la municipalité, a émis le 23 septembre 2015 une injonction interdisant aux taxis grévistes de bloquer la circulation à proximité de l'installation, dont la promenade de l'aéroport. Ils n'ont pas le droit non plus de mener des opérations escargots.
Les chauffeurs de taxi qui travaillent sur la plate-forme sont en conflit avec leur employeur Coventry Connections depuis plus de 6 semaines: "Sans avoir consulté les chauffeurs ou la Ville d'Ottawa, qui fixe les tarifs des taxis, Coventry Connections et l'administration aéroportuaire se sont rencontrés en secret plus tôt cette année et ont décidé d'augmenter les redevances imposées aux chauffeurs qui travaillent à l'aéroport, pour les faire passer de 345 $ à 1 300 $ par mois", explique le syndicat Unifor, qui cherche de nouveaux moyens d'action pour s'opposer à ces augmentations.
Les chauffeurs de taxi qui travaillent sur la plate-forme sont en conflit avec leur employeur Coventry Connections depuis plus de 6 semaines: "Sans avoir consulté les chauffeurs ou la Ville d'Ottawa, qui fixe les tarifs des taxis, Coventry Connections et l'administration aéroportuaire se sont rencontrés en secret plus tôt cette année et ont décidé d'augmenter les redevances imposées aux chauffeurs qui travaillent à l'aéroport, pour les faire passer de 345 $ à 1 300 $ par mois", explique le syndicat Unifor, qui cherche de nouveaux moyens d'action pour s'opposer à ces augmentations.
