Louvre Hôtels s’implante dans les DOM-TOM pour les voyageurs d’affaires

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Louvre Hotels Group a signé un partenariat avec le Groupe Aci Outremer afin de développer sa présence dans les Départements et Territoires d’Outre-Mer sous ses marques Première Classe et Campanile (respectivement deux et trois étoiles). Ce projet ne vise pas la clientèle loisir, mais bien les voyageurs d’affaires.

Louvre Hôtels s’implante dans les DOM-TOM pour les voyageurs d’affaires
Le partenariat entre Louvre Hôtels Group et Aci Outremer va permettre le lancement de 16 nouveaux projets en Outre-Mer dans les trois prochaines années, dont cinq hôtels à la Réunion, quatre hôtels en Guadeloupe, trois hôtels en Martinique et quatre hôtels en Guyane. Huit de ces projets hôteliers sont aujourd’hui sécurisés et totaliseront plus de 490 chambres :
- Guadeloupe - Aéroport de Pointe à Pitre : Campanile (80 chambres) et Première Classe (40 chambres)
- Guyane (Cayenne) - Route de Baduel : Première Classe (70 chambres)
- Guyane - Aéroport de Cayenne : Campanile (60 chambres) et Première Classe (40 chambres)
- La Réunion - Saint-Pierre : Campanile (100 chambres)
- La Réunion - Sainte Clothilde : Campanile (100 chambres)
- Martinique - Le Lamentin : Campanile (100 chambres)

Des établissements pensés pour les voyageurs d’affaires
Par ce projet, Louvre Hotels Group souhaite accroître sa présence sur le marché encore peu développé des hôtels normés et standardisés en Outre-Mer. En effet, les complexes hôteliers situés à ce jour en Martinique, à la Réunion, en Guadeloupe ou en Guyane sont implantés dans des lieux éloignés des centres économiques et ont principalement une vocation touristique. Ces établissements ne répondent pas forcement aux attentes du tourisme Corporate. Le groupe souhaite par l’installation de ses chaînes d’hôtels économiques comme Première Classe et Campanile dans les îles, répondre à la demande des voyageurs d’affaires. Selon l’entreprise cela «permettra à la clientèle professionnelle des DOM-TOM de bénéficier de prix inférieurs de 30% à 50% aux tarifs pratiqués localement».