N’en déplaise aux esprits chagrins, le Market Place du Voyage d’Affaires a tenu ses promesses. Certes avec 3 182 participants (exposants et visiteurs), le salon n’aura pas donné la pleine puissance attendue par les exposants. Mais derrière les chiffres, ce sont les commentaires de celles et ceux qui ont fait le déplacement qui méritent l’attention.
Première remarque, les conférences ont fait « carton plein ». Une surprise. Le besoin de formation et d’informations est bien l’une des premières demandes des visiteurs. Autre remarque, même les grands comptes étaient au rendez vous et ont apprécié cette rencontre avec les exposants et surtout la direction des plus grandes entreprises du domaine. CWT, American Express, Traveldoo, Regus ont, entre autres, délégué leurs équipes complètes, souvent accompagnées du directeur général. Un must, très apprécié des Travel Managers qui ont ainsi pu rencontrer le Top Management.
Il reste que, parmi les 2 254 visiteurs, il y avait peu de représentants des PME/PMI, le public visé. On le sait, il faut du temps pour attirer ce public spécifique, et sans doute quelques réaménagements horaires. Il faudra retravailler l’organisation des visites et intégrer plus de diversités dans les thèmes abordés pour les faire venir. C’est tout le pari de la seconde édition qui se prépare dès maintenant. Il faudra convaincre les exposants de revenir (certains y sont convaincus) et aller chercher les sceptiques. Un travail de fourmi pour l’organisateur qui n’aura pas à prouver qu’il sait organiser et concevoir des salons de qualité.
Il reste que, parmi les 2 254 visiteurs, il y avait peu de représentants des PME/PMI, le public visé. On le sait, il faut du temps pour attirer ce public spécifique, et sans doute quelques réaménagements horaires. Il faudra retravailler l’organisation des visites et intégrer plus de diversités dans les thèmes abordés pour les faire venir. C’est tout le pari de la seconde édition qui se prépare dès maintenant. Il faudra convaincre les exposants de revenir (certains y sont convaincus) et aller chercher les sceptiques. Un travail de fourmi pour l’organisateur qui n’aura pas à prouver qu’il sait organiser et concevoir des salons de qualité.
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