La CGT-Cheminots, Sud-rail et l'Unsa-ferroviaire s'opposent au forfait jours proposé aux cadres de la SNCF ainsi qu'à la suppression de 1.200 postes prévue au cours de l'année. Les trois syndicats souhaitent être reçus par la direction et menacent de déposer un préavis de grève.
Les 3 syndicats ne sont pas du tout convaincus par le forfait jours proposé par la SNCF à ses cadres. Ils demandent ainsi à être reçus par la direction pour évoquer ce sujet et menacent d'organiser un mouvement social. Pas de date officielle mais de son côté, la CGT Cheminots prépare une "action" pour le 2 février afin de "faire converger les revendications à l'échelle nationale". Difficile de dire en l'état s'il s'agit d'un appel classique à la grève ou d'une journée de mobilisation sans incidence sur la circulation des trains. En tout état de cause et si vous avez le choix, il n'est peut-être pas pertinent de programmer aujourd'hui un rendez-vous professionnel ou une convergence d'entreprise à cette date.
Outre le "forfait jours", les organisations syndicales s'opposent également aux suppressions de postes prévues en 2017. La SNCF a en effet décidé de ne pas remplacer certains départs à la retraite en 2017. 1.200 postes seraient concernés.
La CGT et Sud expliquent, dans un communiqué commun évoquant leur mécontentement, que "Le budget 2017 et le référentiel forfaits jours sont nuisibles pour les salariés ainsi que pour le groupe public ferroviaire". De son côté, l'Unsa estime que le forfait jour "ne garantit pas un équilibre entre le temps de travail et le temps de repos" et qu'il est insuffisamment rémunéré.
Outre le "forfait jours", les organisations syndicales s'opposent également aux suppressions de postes prévues en 2017. La SNCF a en effet décidé de ne pas remplacer certains départs à la retraite en 2017. 1.200 postes seraient concernés.
La CGT et Sud expliquent, dans un communiqué commun évoquant leur mécontentement, que "Le budget 2017 et le référentiel forfaits jours sont nuisibles pour les salariés ainsi que pour le groupe public ferroviaire". De son côté, l'Unsa estime que le forfait jour "ne garantit pas un équilibre entre le temps de travail et le temps de repos" et qu'il est insuffisamment rémunéré.
