Forte d’un catalogue négocié de séries, Netflix veut désormais être disponible dans les avions. Pour Neil Hunt, chef de produits dérivés de la marque, tout est désormais technologiquement possible pour distribuer un contenu multimédia en vol. Et d’ajouter: "il serait difficile de ne pas s’intéresser à un mode de transport qui touche des millions de passagers tous les mois".
Mais pour accéder à l’IFE (In-flight entertainment ), Netflix doit faire valider ses équipements par la FAA (l’autorité américaine de l'aviation civile) et obtenir une certification lui permettant d’être présent dans le système de divertissement en vol. L’entreprise californienne se dit « confiante dans la nouvelle génération de streaming à bord ».
Autre souci, la répartition des droits perçus. Si la perception d’un droit d’accès est simple auprès d’abonnés référencés, gérer les droits d’auteur associés aux programmes sera plus complexe. Seule inconnue, le montant des droits de diffusion à verser par le diffuseur risque d’augmenter sérieusement. Selon les majors du cinéma et de la télévision, "diffuser à autant de personnes va forcément coûter plus cher à Netflix".
Selon Netflix, plusieurs compagnies américaines se disent intéressées par l’offre. Beaucoup y voient une source de revenus complémentaires mais ne souhaiteront pas payer pour le service. Dernier détail, il faut régler les problèmes de bande passante dans les avions, encore chère, et développer l’accès payant du système embarqué. Malgré toutes ces questions, Netflix assure que tout peut être prêt en quelques mois.
Autre souci, la répartition des droits perçus. Si la perception d’un droit d’accès est simple auprès d’abonnés référencés, gérer les droits d’auteur associés aux programmes sera plus complexe. Seule inconnue, le montant des droits de diffusion à verser par le diffuseur risque d’augmenter sérieusement. Selon les majors du cinéma et de la télévision, "diffuser à autant de personnes va forcément coûter plus cher à Netflix".
Selon Netflix, plusieurs compagnies américaines se disent intéressées par l’offre. Beaucoup y voient une source de revenus complémentaires mais ne souhaiteront pas payer pour le service. Dernier détail, il faut régler les problèmes de bande passante dans les avions, encore chère, et développer l’accès payant du système embarqué. Malgré toutes ces questions, Netflix assure que tout peut être prêt en quelques mois.
