C’est un sujet récurent qui va revenir sur la table du Conseil Régional d’ïle de France : l’amélioration de la ligne B du RER, celle qui va de Paris à l’Aéroport Charles de Gaulle. Pour le 11 février, lors du conseil d’administration du STIF, c’est le projet « welcome » qui va retenir l’attention. Objectif : investir pour améliorer la desserte de Roissy.
Selon nos informations, en complément de celles données par la Tribune il y a quelques jours, le STIF ne serait pas prêt à investir plus de 4 millions d’euros pour mettre plus de personnel et repenser une partie des wagons mis sur la ligne.
Mais si rien n’est décidé, les élections qui s’approchent ne donnent pas des ailes aux élus régionaux. La fameuse priorité à l’investissement local les conduirait à repousser la décision de quelques mois. Pour le prochain Conseil Régional d’ïle de France ? C’est ce que pensent les élus de l’opposition qui restent persuadés que l’économie francilienne doit bénéficier d’une meilleure liaison entre Paris et son premier aéroport.
Il reste que le sujet même du financement de cette amélioration, proposée conjointement par Air France et la SNCF, reposerait une fois de plus sur une taxe sur les billets d’avion (entre 10 et 20 centimes). C’est en tout cas la position du STIF qui rejette un financement direct. En attendant le CDG Express, sans doute en 2024 (même si opérateurs évoquent eux avril 2023), la galère est loin d’être terminée pour les utilisateurs étrangers du RER. La pire expérience avant le meilleur de la visite parisienne.
Mais si rien n’est décidé, les élections qui s’approchent ne donnent pas des ailes aux élus régionaux. La fameuse priorité à l’investissement local les conduirait à repousser la décision de quelques mois. Pour le prochain Conseil Régional d’ïle de France ? C’est ce que pensent les élus de l’opposition qui restent persuadés que l’économie francilienne doit bénéficier d’une meilleure liaison entre Paris et son premier aéroport.
Il reste que le sujet même du financement de cette amélioration, proposée conjointement par Air France et la SNCF, reposerait une fois de plus sur une taxe sur les billets d’avion (entre 10 et 20 centimes). C’est en tout cas la position du STIF qui rejette un financement direct. En attendant le CDG Express, sans doute en 2024 (même si opérateurs évoquent eux avril 2023), la galère est loin d’être terminée pour les utilisateurs étrangers du RER. La pire expérience avant le meilleur de la visite parisienne.
