Après des années de tergiversation, le gouvernement britannique a fini par prendre la décision, le 25 octobre 2016, de construire une 3ème piste à Londres Heathrow. Mais pour Ryanair, cette décision n'est pas suffisante pour désengorger le ciel britannique. Michael O'Leary, qui ne fait jamais dans la demi-mesure, réclame au total 3 nouveaux tarmacs : un à Heathrow mais également un à Gatwick et un dernier à Stansted.
Pour Ryanair, le problème des aéroports et du trafic aérien saturés de Londres se résout facilement. Le gouvernement doit approuver les 3 solutions proposées. C'est à dire une piste supplémentaire sur les 3 plates-formes londoniennes : Heathrow, Gatwick et Stansted.
La low-cost irlandaise estime qu'en optant pour cette mesure "Le gouvernement britannique favoriserait une concurrence qui encouragerait ces aéroports à maintenir les coûts du développement des pistes au plus bas, offrant ainsi une meilleure solution aux consommateurs britanniques et aux visiteurs".
Ryanair craint, en effet, que l'ajout d'une piste à Londres Heahtrow seulement créerait une situation de monopole dont profiterait la plateforme. De plus, le transporteur a également peur qu'à l'ouverture de la piste, prévue en 2025, le pays soit encore en situation de saturation aérienne en raison de la rapide augmentation de la demande. La compagnie pointe que les deux autres pistes seraient alors aussi nécessaires.
Michael O'Leary ajoute "Le gouvernement de Thérésa May dans un monde post-brexit a promis de faire de la Grande-Bretagne une économie ouverte, compétitive et tournée vers l'extérieur. La décision d'aujourd'hui d'approuver uniquement une seule piste (au lieu des 3) ne permettra pas d'assurer cet objectif. C'est le retour du monopole de Heathrow et la continuation d'une capacité restreinte dans le sud-est qui sera finalement mauvaise pour le choix et les tarifs des consommateurs".
La low-cost irlandaise estime qu'en optant pour cette mesure "Le gouvernement britannique favoriserait une concurrence qui encouragerait ces aéroports à maintenir les coûts du développement des pistes au plus bas, offrant ainsi une meilleure solution aux consommateurs britanniques et aux visiteurs".
Ryanair craint, en effet, que l'ajout d'une piste à Londres Heahtrow seulement créerait une situation de monopole dont profiterait la plateforme. De plus, le transporteur a également peur qu'à l'ouverture de la piste, prévue en 2025, le pays soit encore en situation de saturation aérienne en raison de la rapide augmentation de la demande. La compagnie pointe que les deux autres pistes seraient alors aussi nécessaires.
Michael O'Leary ajoute "Le gouvernement de Thérésa May dans un monde post-brexit a promis de faire de la Grande-Bretagne une économie ouverte, compétitive et tournée vers l'extérieur. La décision d'aujourd'hui d'approuver uniquement une seule piste (au lieu des 3) ne permettra pas d'assurer cet objectif. C'est le retour du monopole de Heathrow et la continuation d'une capacité restreinte dans le sud-est qui sera finalement mauvaise pour le choix et les tarifs des consommateurs".
