Selon l’Observatoire de l'aviation civile, le trafic aérien passagers de l’Hexagone continue d’augmenter sur les lignes domestiques comme à l’international. Au second trimestre 2012, il a enregistré une croissance de 3 %, soutenant ainsi l’activité de l’ensemble du secteur malgré un environnement toujours plus incertain
Le trafic intérieur de la métropole a progressé de près de 2 % et l’international de 3,6 %. Quatre marchés ont été particulièrement actifs pendant le 2ème trimestre 2012 : le trafic avec le Maghreb (+7 %), celui avec le Moyen-Orient (+9 %) l’Asie (+ 7 %) et celui entre les aéroports régionaux (trafic intérieur métropole – liaisons transversales : +13 %). Quelques exemples pour illustrer : Paris-Alger, 17 % ; Paris-Tel Aviv : +21 % ; Paris-Shanghaï : 18 % ; Lyon-Nantes : +26 %. Cette progression du trafic de passagers s’est accompagnée d’une diminution (-1,1 % 2nd trimestre 2012/2nd trimestre 2011) des mouvements IFR contrôlés (arrivées et départs France).
Les performances des aéroports français
L’activité des aéroports (en passagers) progresse de 3 % au 2nd trimestre 2012. Très soutenue sur les grands aéroports régionaux (+7 %), et notamment à Marseille (+17 %), Toulouse (+10 %) et Nantes (+8,5 %). Par contre, elle évolue peu pour ADP (+0,4 %), pour cette période. Orly a même été marqué par un recul de 2 % du trafic.
Les résultats de ce second trimestre 2012, montre que les opérateurs aériens parviennent à limiter la casse malgré les incertitudes économiques. Ils demeurent parmi les rares secteurs d’activité qui maintiennent, et même pour certains, développent leur activité.
Les performances des aéroports français
L’activité des aéroports (en passagers) progresse de 3 % au 2nd trimestre 2012. Très soutenue sur les grands aéroports régionaux (+7 %), et notamment à Marseille (+17 %), Toulouse (+10 %) et Nantes (+8,5 %). Par contre, elle évolue peu pour ADP (+0,4 %), pour cette période. Orly a même été marqué par un recul de 2 % du trafic.
Les résultats de ce second trimestre 2012, montre que les opérateurs aériens parviennent à limiter la casse malgré les incertitudes économiques. Ils demeurent parmi les rares secteurs d’activité qui maintiennent, et même pour certains, développent leur activité.