Uber n'en finit pas avec les mauvaises nouvelles cette semaine. Après avoir été interdit à Delhi à la suite d'une plainte pour viol d'une passagère, l'entreprise californienne ne peut plus proposer son service UberPop en Espagne.
UberPop a été interdit en Espagne. Le juge, saisi après la plainte d'une association de taxis, a estimé que les chauffeurs du VTC ne disposaient pas des autorisations administratives nécessaires pour le transport de personnes. Ce service, présenté comme du covoiturage urbain, met en relation un client avec un particulier chauffeur d'un jour. Il a fait l'objet de poursuites judiciaires dans de nombreux pays. Il a été interdit comme aux Pays-Bas ou en Belgique.
Le service se trouve également devant la justice américaine. La municipalité de Portland a indiqué qu'elle portait plainte contre Uber. La plainte explique «Uber enfreint les règles administratives et de transport privé» de la ville. Elle demande un jugement déclaratoire ainsi qu'un ordre du tribunal réclamant l'arrêt «immédiat de ses activités» jusqu'à ce que l'entreprise «obtienne les permis appropriés» et «remplisse pleinement les conditions de la ville». Le maire Charlie Hales, précise dans le communiqué «notre souci principal est la santé et la sécurité» des passagers ainsi que «l'équité car les compagnies de taxi suivent les réglementations» de la ville.
Le service se trouve également devant la justice américaine. La municipalité de Portland a indiqué qu'elle portait plainte contre Uber. La plainte explique «Uber enfreint les règles administratives et de transport privé» de la ville. Elle demande un jugement déclaratoire ainsi qu'un ordre du tribunal réclamant l'arrêt «immédiat de ses activités» jusqu'à ce que l'entreprise «obtienne les permis appropriés» et «remplisse pleinement les conditions de la ville». Le maire Charlie Hales, précise dans le communiqué «notre souci principal est la santé et la sécurité» des passagers ainsi que «l'équité car les compagnies de taxi suivent les réglementations» de la ville.
