Un guide du wifi dans les aéroports européens

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Si 96 % des voyageurs estiment que les aéroports doivent proposer le wifi gratuit dans leurs locaux, toutes les plates-formes n'ont pas adopté cette politique. Pour aider les professionnels en déplacement à s'y retrouver, Skyscanner a réalisé un guide recensant toutes les connexions des installations aéroportuaires ainsi que leur gratuité ou non.

Le guide wifi de Skyscanner permet de faire ressortir les variations de prix pour l’accès au wifi dans les aéroports. Il donne une estimation de la durée dont dispose le voyageur pour se connecter gratuitement mais également les coûts que ce service peut engendrer dans certaines plates-formes européennes.

4 grands aéroports français offrent le wifi gratuitement
Skyscanner a découvert en réalisant ce guide que la France faisait partie des pays européens proposant le wifi gratuit et illimité dans ses plus grands aéroports. En effet, Paris Charles de Gaulle, Paris Orly, Lyon et Nice sont de la liste, il y en a au total une vingtaine en Union européenne.
La Russie et l’Italie montrent également l’exemple à suivre en termes de wifi. Les aéroports les plus importants de ces deux pays offrent une connexion illimitée et gratuite. 48 % des installations de la recherche offrent un accès wifi illimité. En revanche, deux aéroports, Berlin Tegel et Istanbul Sabiha Gokcen, ne le proposent pas à leurs voyageurs. Londres Heathrow n'offre que 45 minutes de connexion gratuite avant de devenir payant pour 3,74 € (3£) par heure.

Prêt à payer pour se connecter ?
Le sondage révèle également qu’un tiers des voyageurs serait prêt à payer 1 € pour une heure de connexion wifi. Ce tarif reste moins élevé que ceux mis en place dans les aéroports de Düsseldorf et de Lisbonne qui sont les plus chers : 10 € pour deux heures de connexion.
71 % des voyageurs européens interrogés pensent que le wifi gratuit est très important. Pour ces utilisateurs, internet à l’aéroport est le plus souvent utilisé pour rester en contact avec les proches (33 %), pour consulter les mails (22 %) ou simplement pour passer le temps (30 %). Seulement 5 % vont sur le net pour travailler.