Un hôtel britannique refuse désormais d'avoir pour clients les équipages de Pakistan International Airlines (PIA), et plus particulièrement les pilotes. L'établissement, non identifié, ne veut plus les loger en raison du comportement peu galant des navigants masculins envers les clientes.
Selon Express News, l'établissement britannique a prévenu Pakistan International Airlines (PIA) qu'il ne louerait plus de chambres à ses équipages. Il a justifié sa décision en indiquant que les clientes ne se sentaient pas en sécurité en présence des pilotes. Certains navigants se montreraient très entreprenants et insistants avec les femmes présentes dans l'établissement, leur demandant entre autres avec obstination leur numéro de téléphone.
La direction a ajouté qu'elle ne reviendrait pas sur sa décision tant que les pilotes ayant une telle attitude ne seraient pas sanctionnés.
Ce n'est pas la première fois que les pilotes de PIA détonnent en raison de leur comportement. En mai dernier, un navigant avait été pris en photo alors qu'il faisait une sieste en business pendant le vol. Un autre avait volé avec des passagers supplémentaires debouts dans l'allée en février. Encore plus grave, un pilote avait été arrêté ivre dans le cockpit avec un taux d'alcoolémie 3 fois supérieur au seuil autorisé en 2013.
De tels agissements ne sont sans doute pas généralisés mais la réputation désastreuse sort désormais du cadre de la compagnie.
La direction a ajouté qu'elle ne reviendrait pas sur sa décision tant que les pilotes ayant une telle attitude ne seraient pas sanctionnés.
Ce n'est pas la première fois que les pilotes de PIA détonnent en raison de leur comportement. En mai dernier, un navigant avait été pris en photo alors qu'il faisait une sieste en business pendant le vol. Un autre avait volé avec des passagers supplémentaires debouts dans l'allée en février. Encore plus grave, un pilote avait été arrêté ivre dans le cockpit avec un taux d'alcoolémie 3 fois supérieur au seuil autorisé en 2013.
De tels agissements ne sont sans doute pas généralisés mais la réputation désastreuse sort désormais du cadre de la compagnie.
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