Il aura fallu 9 mois à Xavier Kowalski et à ses équipes pour obtenir l'indispensable certificat permettant à Open Flight d'assurer des vols commerciaux au départ de Marseille. Au moment même ou se tient à Atlanta le rendez vous annuel de l'aviation d'affaires, la toute jeune entreprise démontre que dans le sud de la France, le marché est bien là.
C’est en pleine crise que le PDG d’Open Flight décide de créer la 1ère compagnie d’aviation d’affaires sur l’aéroport Marseille Provence, mais son projet semble avoir été longuement mûri. Sa motivation, un constat simple : sur tout le sud de la France, il n’existe aucune compagnie d’aviation d’affaires qui exploite ces « avions-taxis » qui permettent à des entreprises de rejoindre des centres économiques beaucoup plus rapidement qu'en faisant appel aux liaisons traditionnelles, qu’elles soient ferroviaires ou aériennes.
Et les chiffres le montrent. Dès qu'il s'agit de rejoindre des points peu ou pas desservis, l'aviation d'affaire est bien plus rentable, en temps comme en argent, que les vols réguliers qui enchaînent les escales et les aléas des horaires. Fort de cette observation, avec un ami, Christian Ristori , Xavier Kowalski s'entoure de sept permanents (pilotes, mécanicien et secrétaire). En juillet dernier, ils obtiennent leur précieux sésame : la licence de transport Aérien et le Certificat de Transport aérien.
Preuve que tout est affaire de choix, la toute jeune compagnie s'appuie un appareil, le Beechkraft King Air 90, particulièrement réputés pour sa fiabilité et sa sécurité. Son rayon d'action de 1700 km permet de relier, au départ de Marseille, les grandes capitales européennes. Sa capacité à atterrir sur des pistes courtes en fait un allié de poids, permettant de se poser sur plus de 2200 aéroport en Europe avec un faible niveau d'émission de Co2 faible. Cet avion d’affaire peut accueillir entre 4 et 6 passagers.
Et les chiffres le montrent. Dès qu'il s'agit de rejoindre des points peu ou pas desservis, l'aviation d'affaire est bien plus rentable, en temps comme en argent, que les vols réguliers qui enchaînent les escales et les aléas des horaires. Fort de cette observation, avec un ami, Christian Ristori , Xavier Kowalski s'entoure de sept permanents (pilotes, mécanicien et secrétaire). En juillet dernier, ils obtiennent leur précieux sésame : la licence de transport Aérien et le Certificat de Transport aérien.
Preuve que tout est affaire de choix, la toute jeune compagnie s'appuie un appareil, le Beechkraft King Air 90, particulièrement réputés pour sa fiabilité et sa sécurité. Son rayon d'action de 1700 km permet de relier, au départ de Marseille, les grandes capitales européennes. Sa capacité à atterrir sur des pistes courtes en fait un allié de poids, permettant de se poser sur plus de 2200 aéroport en Europe avec un faible niveau d'émission de Co2 faible. Cet avion d’affaire peut accueillir entre 4 et 6 passagers.
