Les voyageurs d’affaires se rendant à l’aéroport de Roissy en taxi, en bus ou en covoiturage pourront bientôt profiter d’une voie rapide sur l’A1. La région Ile de France devrait ouvrir en la première voie réservée à ces modes de transport sur l’autoroute début 2015.
Testée quelques mois en 2009 puis abandonnée faute de succès, une voie réservée aux taxis, aux bus et au covoiturage devrait voir le jour en 2015, du moins c'est le projet de la région Ile-de-France présenté par Pierre Serne, vice-président EELV du Conseil régional et du Syndicat des Transports d'Ile de France sur France Bleu 107.1. Le dispositif devrait faire gagner une vingtaine de minutes aux personnes qui l’empruntent. Une douzaine d’autres voies dédiées sur autoroute devraient voir le jour après ce lancement. La liste sera dévoilée le mois prochain.
Pierre Serne reconnaît néanmoins que ce projet demande un travail de préparation en amont. Il doit selon lui «être extrêmement bien accompagné et vraiment vérifié quasiment au millimètre près», ajoutant que l’échec précédent étant dû à la mauvaise préparation de l’insertion à l’arrivée dans le périphérique. Il assure que ce point à été retravaillé avec la Mairie de Paris. D'ailleurs, la région ile de France et le STIF n’attendent plus que son feu vert.
Mais la municipalité s’avance beaucoup moins que Pierre Serne. Elle a indiqué à l’AFP qu’il était «prématurée pour établir un calendrier précis». «À ce stade, nous sommes encore en plein cœur d‘un processus de consultation des taxis, de la police, et des différentes communes qui seraient concernées par cette mesure. Nous nous réjouissons que la région soutienne ce projet, qui faisait partie des promesses de campagne d'Anne Hidalgo, mais ça n'est qu'après ces concertations qu'un calendrier clair se dessinera, et que nous connaîtrons le nombre de voies sur autoroutes qui seront concernées à terme».
Pierre Serne reconnaît néanmoins que ce projet demande un travail de préparation en amont. Il doit selon lui «être extrêmement bien accompagné et vraiment vérifié quasiment au millimètre près», ajoutant que l’échec précédent étant dû à la mauvaise préparation de l’insertion à l’arrivée dans le périphérique. Il assure que ce point à été retravaillé avec la Mairie de Paris. D'ailleurs, la région ile de France et le STIF n’attendent plus que son feu vert.
Mais la municipalité s’avance beaucoup moins que Pierre Serne. Elle a indiqué à l’AFP qu’il était «prématurée pour établir un calendrier précis». «À ce stade, nous sommes encore en plein cœur d‘un processus de consultation des taxis, de la police, et des différentes communes qui seraient concernées par cette mesure. Nous nous réjouissons que la région soutienne ce projet, qui faisait partie des promesses de campagne d'Anne Hidalgo, mais ça n'est qu'après ces concertations qu'un calendrier clair se dessinera, et que nous connaîtrons le nombre de voies sur autoroutes qui seront concernées à terme».
