L'agglomération de Grenoble teste avec ses communes voisines du Vercors un système de covoiturage sur les téléphones portables, pour répondre aux besoins immédiats et partager ainsi les frais et les émissions de CO2.
Destiné aussi bien aux salariés des entreprises qu'aux particuliers, voilà un système qui correspond bien aux premiers par la notion d'immédiat qu'il comporte. Le système mis en place permet en effet de gérer du covoiturage comme cela existe déjà par internet, pour se déplacer ensemble et partager les frais et réduire les gaz à effet de serre, mais l'interface en ligne Covisoft, gérée par le Conseil général, permet cette fois d'échanger les contacts via les téléphones mobiles.
76 points relais sont déterminés dans l'agglomération, le passager transmet par sms au système le lieu où il se trouve et le conducteur qui peut le récupérer s'engage à passer le prendre au point de contact. Pour soutenir l'opération et encourager les conducteurs à participer, le Conseil général leur attribue 10 centimes au kilomètre parcouru et des bons d'achats de 30 euros.
Covisoft est en phase de test avec 150 volontaires pendant 2 mois. Le Conseil général essaie ainsi de trouver une alternative aux 9000 voitures qui encombrent quotidiennement les deux axes reliant Grenoble et le plateau du Vercors.
76 points relais sont déterminés dans l'agglomération, le passager transmet par sms au système le lieu où il se trouve et le conducteur qui peut le récupérer s'engage à passer le prendre au point de contact. Pour soutenir l'opération et encourager les conducteurs à participer, le Conseil général leur attribue 10 centimes au kilomètre parcouru et des bons d'achats de 30 euros.
Covisoft est en phase de test avec 150 volontaires pendant 2 mois. Le Conseil général essaie ainsi de trouver une alternative aux 9000 voitures qui encombrent quotidiennement les deux axes reliant Grenoble et le plateau du Vercors.
