Accor a présenté le 17 avril ses résultats du premier trimestre 2012. Son chiffre d’affaires pour ses trois premiers mois s’est établi à 1 371 millions d’euros, en hausse de +1,2 % en données publiées.
Accor enregistre une bonne croissance de son chiffre d’affaires au premier trimestre 2012 (+4,5 % en données comparables). Cette progression est principalement liée à deux éléments : une bonne croissance des prix sur tous les segments de clientèle, et l’augmentation des revenus du management et de la franchise. Le groupe hôtelier enregistre sur ce 1er trimestre un niveau record en termes de développement avec l’ouverture de 7 720 chambres. Malgré les incertitudes macroéconomiques qui pèsent sur certaines régions, il a indiqué «rester «confiant pour le 2e trimestre, avec une activité qui devrait s’inscrire dans la continuité du début de l’année 2012».
Résultat du marché français
Le chiffre d’affaires de la France progresse, en données comparables, de +1,4 % sur le segment Haut et Milieu de gamme, et de +2,1 % sur le segment Économique. Avec des volumes pénalisés par des comparables élevés au 1er trimestre 2011, la croissance a été portée par les prix sur l’ensemble des segments. L’activité a été bonne sur toute la période avec une accélération de la croissance au mois de mars. Paris enregistre de très bonnes performances et tire la croissance du marché, tandis que les grandes villes de province (notamment Lyon, Lille et Strasbourg) ont été pénalisées par un calendrier défavorable pour la tenue de grands événements.
Résultat du marché français
Le chiffre d’affaires de la France progresse, en données comparables, de +1,4 % sur le segment Haut et Milieu de gamme, et de +2,1 % sur le segment Économique. Avec des volumes pénalisés par des comparables élevés au 1er trimestre 2011, la croissance a été portée par les prix sur l’ensemble des segments. L’activité a été bonne sur toute la période avec une accélération de la croissance au mois de mars. Paris enregistre de très bonnes performances et tire la croissance du marché, tandis que les grandes villes de province (notamment Lyon, Lille et Strasbourg) ont été pénalisées par un calendrier défavorable pour la tenue de grands événements.
