A l’occasion de l’inauguration, lundi 31 mars, du 900ème hôtel de l’enseigne, les dirigeants d’Accor ont dévoilé les grandes lignes de la stratégie du groupe pour sa filiale économique. Une feuille de route qui visera notamment à maintenir un bon équilibre entre la clientèle loisir et les voyageurs d’affaires, grâce à une offre de services adaptés et un bon rapport qualité-prix.
Sur le parvis du nouvel hôtel Ibis de Tanger, Denis Hennequin a donné le ton des ambitions affichées par le groupe Accor pour son enseigne économique : le PDG du groupe hôtelier prévoit de tenir un rythme de 70 nouveaux établissements Ibis par an sur les dix prochaines années, soit 700 hôtels supplémentaires d'ici 2021. Un rythme de croisière qui marque bien l’importance – et la rentabilité – de la chaîne Ibis au sein du programme Accor. Dans cette stratégie ambitieuse, l’Afrique et le Moyen-Orient devraient faire l’objet d’une attention particulière, puisque les dirigeants d'Accor prévoient de doubler le nombre d’hôtels Ibis sur la zone, soit près de 300 établissements d’ici la fin de l’année 2015.
«La Rolls de l’hôtellerie économique» décrite par Yann Caillière, numéro 3 du groupe, devrait continuer à rouler pour la clientèle du voyage d’affaires, grâce à des prix adaptés au marché local, et des services attractifs : en témoignent l’installation de web corners, ou les petits-déjeuners servis dès 4h du matin.
Les voyageurs d'affaires représentent aujourd’hui 57% de la clientèle Ibis, et le positionnement du groupe ne devrait pas évoluer sur ce plan : «C’est un bon équilibre» note Frédéric Josenhans, Directeur du marketing et du développement des marques. «Le poids des voyageurs d’affaires peut varier fortement selon les établissements et leur localisation, mais cette proportion globale protège notre modèle économique, et nous évite d’être dépendant d’un type de clientèle».
Trente-six ans après l'ouverture du premier hôtel Ibis à Bordeaux, l'ambition de l'enseigne n'a semble-t-il pas pris une ride.
«La Rolls de l’hôtellerie économique» décrite par Yann Caillière, numéro 3 du groupe, devrait continuer à rouler pour la clientèle du voyage d’affaires, grâce à des prix adaptés au marché local, et des services attractifs : en témoignent l’installation de web corners, ou les petits-déjeuners servis dès 4h du matin.
Les voyageurs d'affaires représentent aujourd’hui 57% de la clientèle Ibis, et le positionnement du groupe ne devrait pas évoluer sur ce plan : «C’est un bon équilibre» note Frédéric Josenhans, Directeur du marketing et du développement des marques. «Le poids des voyageurs d’affaires peut varier fortement selon les établissements et leur localisation, mais cette proportion globale protège notre modèle économique, et nous évite d’être dépendant d’un type de clientèle».
Trente-six ans après l'ouverture du premier hôtel Ibis à Bordeaux, l'ambition de l'enseigne n'a semble-t-il pas pris une ride.
