Quatre ans après le Grenelle de l’environnement et la convention d’engagement du secteur aérien, Air France qui vient tout juste d’être récompensée pour son développement durable présente les résultats de sa politique environnementale.
Air France a réduit sa consommation de carburant par passager de 3,96 litres à 3,81 litres aux 100 km par voyageur, soit une baisse de près de 4 % entre 2008 et 2011. La compagnie vise une consommation moyenne de carburant par passager de 3,7 litres aux 100 km d’ici fin 2012.
En 2011, les émissions de CO2 sur les lignes desservant les départements d’outre-mer ont été réduites de 27 % par rapport à 2005, grâce au remplacement progressif des Boeing 747 par des Boeing 777-300ER, plus économes en carburant. Une bonne nouvelle pour les riverains des aéroports, le transporteur annonce avoir réduit de 30 % l’empreinte sonore par rapport à 2005, grâce à la modernisation de la flotte.
Air France a mis en place d’autres initiatives pour parvenir à diminuer encore plus sa marque sur l’environnement :
• Alléger la masse embarquée à bord des appareils,
• Appliquer des procédures plus économes en carburant à chaque phase de vol en collaboration avec la Direction Générale de l’Aviation Civile,
• Contribuer à l’élaboration d’une charte mondiale et au développement des biocarburants durables, sans impacts environnementaux ou sociaux.
Il reste à remarquer que cette démarche, écologique, a aussi une dimension économique qui n'échappe à personne. Un véritable cercle vertueux.
En 2011, les émissions de CO2 sur les lignes desservant les départements d’outre-mer ont été réduites de 27 % par rapport à 2005, grâce au remplacement progressif des Boeing 747 par des Boeing 777-300ER, plus économes en carburant. Une bonne nouvelle pour les riverains des aéroports, le transporteur annonce avoir réduit de 30 % l’empreinte sonore par rapport à 2005, grâce à la modernisation de la flotte.
Air France a mis en place d’autres initiatives pour parvenir à diminuer encore plus sa marque sur l’environnement :
• Alléger la masse embarquée à bord des appareils,
• Appliquer des procédures plus économes en carburant à chaque phase de vol en collaboration avec la Direction Générale de l’Aviation Civile,
• Contribuer à l’élaboration d’une charte mondiale et au développement des biocarburants durables, sans impacts environnementaux ou sociaux.
Il reste à remarquer que cette démarche, écologique, a aussi une dimension économique qui n'échappe à personne. Un véritable cercle vertueux.
