La protection des données et des informations est un véritable enjeu pour les entreprises surtout lors des déplacements professionnels de leurs collaborateurs. Boeing a fait des infidélités à l’aéronautique pour imaginer un téléphone ultra sécurisé capable d’auto-détruire son contenu en cas de problème.
Boeing Black n’est pas un projet d’avion du constructeur américain… mais un téléphone multilfonctions destiné en premier lieu aux acteurs du secteur de la défense et de la sécurité d’intérieur. «Le téléphone multifonctions Boeing Black a été conçu avec à l'esprit la sécurité et la modularité dont ont besoin nos clients pour utiliser leurs téléphones multifonctions à travers un éventail de missions et de configurations», explique Boeing. L’appareil présenté sur le site de l’avionneur depuis le 26 février 2014 «est fabriqué comme un appareil scellé à la fois avec de la résine epoxy autour de la coque et avec des vis, dont la tête sera couverte de telle façon que toute tentative de désassemblage sera identifiée».
L’entreprise souligne que «Toute tentative d'ouverture forcée de la coque de l'appareil déclenchera une fonction effaçant les données et les logiciels contenus dans l'appareil et rendra l'appareil inopérant». Ce téléphone disposera de plusieurs fonctions dont le cryptage des données et marchera sous le système d'exploitation Androïd de Google. Boeing a déposé les documents concernant le Boeing Black auprès du régulateur américain des télécommunications (FCC) en début de semaine. Ils précisent que l’appareil sera assemblé aux États-Unis.
L’entreprise souligne que «Toute tentative d'ouverture forcée de la coque de l'appareil déclenchera une fonction effaçant les données et les logiciels contenus dans l'appareil et rendra l'appareil inopérant». Ce téléphone disposera de plusieurs fonctions dont le cryptage des données et marchera sous le système d'exploitation Androïd de Google. Boeing a déposé les documents concernant le Boeing Black auprès du régulateur américain des télécommunications (FCC) en début de semaine. Ils précisent que l’appareil sera assemblé aux États-Unis.
