Une destination véhicule un message, le choix n’est jamais anodin, il doit donner du sens à son action. Pour un séminaire, une convention, un incentive choisir sa destination Mice suppose alors une alchimie dosée et équilibrée.
L’entreprise doit déjà recenser les destinations utilisées par le passé et en faire une grille d’analyse. N’oublions qu’un participant compare toujours d’une année sur l’autre, d’un événement à l’autre. L’entreprise doit ensuite définir ses contraintes : Privatisation, capacités hôtelières, temps de vol, nombre de vols, besoins logistiques… et/ou pays dans lequel elle est implantée… ou pays ne rentrant pas dans ses critères d’image ou de culture groupe.
S’en suit deux clés d’entrée possible :
1/ Parler pure destination et à l’appui d’un brief (soleil, mer, montagne, club…), mettre en compétition des pays et villes plus ou moins tendances, plus ou moins nouveaux, plus ou moins économiques, plus ou moins écologiques.
Dans cette approche, le coût va jouer un facteur déterminant puis la localisation, les temps de transferts, le tout en un… Mais aussi le musée ou le site non ouvert au public et que l’on privatise pour son événement. Le choix de la bonne destination se fait ainsi sur des critères plus axés «agence de voyage sur mesure ou +++ ». En effet, on rivalisera d’ingéniosité sur les modes de transport, les artistes en exclusivité, les services VIP, les privatisations et autres privilèges. Bien souvent dans ces briefs, on retrouve comme critère de choix de la destination : «Il faut qu’ils fassent des «choses» qu’ils ne pourraient pas faire par eux-mêmes !».
2/ Seconde approche, intégrant la destination comme outil, vecteur, au service de la stratégie de communication événementielle recherchée. Comme tous les autres aspects de la réflexion liée au MICE la destination devient un ingrédient. Certes, un ingrédient majeur, car tout ce qui concerne cette destination représente bien souvent 80 à 90 % du budget ! Concevoir donc le choix de la prochaine destination MICE est, avant d’intégrer les composantes de notre point 1, une décision stratégique liée à un concept, à un positionnement, à un axe de communication.
Autrement dit, le concept ou les messages définis, l’entreprise doit s’attacher à trouver la destination lui collant le mieux, correspondant le plus à la stratégie de communication créée. On le voit, le travail est fait dans l’autre sens, il devient plus facile, plus évident, plus logique, plus vendable aux décideurs comme aux participants.
Bien souvent, dans ce contexte, le choix de la destination se fait alors de concert entre l’agence et son client, créant ainsi un vrai partenariat au service de l’opération concernée. Se battre sur des lieux, des destinations, des hôtels… n’est à mon sens, pas le métier des organisateurs d'événements. Bien sur, il nous faut dénicher de nouveaux endroits, opérer une veille concurrentielle, réaliser des éductours, mettre en place une pige des pays pour en connaître les tenants et aboutissants et conseiller au plus juste. Mais dans le MICE il ne s’agit pas de proposer un catalogue d’agence de voyage pour trouver sa destination, il ne s’agit pas d’être un vendeurs de destinations.
Ne nous y trompons pas, c’est bien la différence qui existe entre les agences qui prônent encore l’appellation «Tourisme d’affaires» et qui sont amenées à disparaître, entre celles (souvent des grosses agences de voyages FIT) qui dans leurs girons possèdent un département groupe (c’est un autre métier et cela ne concerne pas le MICE) et les agences événementielles ou MICE ou METTING INDUSTRY qui font la réalité du marché. Le bon choix d’une destination est donc celui qui a un instant T va correspondre au besoin de l’entreprise sur l’aspect stratégique et message saussi bien que sur l’aspect logistique. Cette fameuse alchimie !
Le bon choix d’une destination, c’est aussi comme dans tous les événements, celui qui générera la meilleure motivation de déplacement ou d’adhésion et le meilleur souvenir.
Le bon choix d’une destination, c’est certainement votre prochaine destination.
S’en suit deux clés d’entrée possible :
1/ Parler pure destination et à l’appui d’un brief (soleil, mer, montagne, club…), mettre en compétition des pays et villes plus ou moins tendances, plus ou moins nouveaux, plus ou moins économiques, plus ou moins écologiques.
Dans cette approche, le coût va jouer un facteur déterminant puis la localisation, les temps de transferts, le tout en un… Mais aussi le musée ou le site non ouvert au public et que l’on privatise pour son événement. Le choix de la bonne destination se fait ainsi sur des critères plus axés «agence de voyage sur mesure ou +++ ». En effet, on rivalisera d’ingéniosité sur les modes de transport, les artistes en exclusivité, les services VIP, les privatisations et autres privilèges. Bien souvent dans ces briefs, on retrouve comme critère de choix de la destination : «Il faut qu’ils fassent des «choses» qu’ils ne pourraient pas faire par eux-mêmes !».
2/ Seconde approche, intégrant la destination comme outil, vecteur, au service de la stratégie de communication événementielle recherchée. Comme tous les autres aspects de la réflexion liée au MICE la destination devient un ingrédient. Certes, un ingrédient majeur, car tout ce qui concerne cette destination représente bien souvent 80 à 90 % du budget ! Concevoir donc le choix de la prochaine destination MICE est, avant d’intégrer les composantes de notre point 1, une décision stratégique liée à un concept, à un positionnement, à un axe de communication.
Autrement dit, le concept ou les messages définis, l’entreprise doit s’attacher à trouver la destination lui collant le mieux, correspondant le plus à la stratégie de communication créée. On le voit, le travail est fait dans l’autre sens, il devient plus facile, plus évident, plus logique, plus vendable aux décideurs comme aux participants.
Bien souvent, dans ce contexte, le choix de la destination se fait alors de concert entre l’agence et son client, créant ainsi un vrai partenariat au service de l’opération concernée. Se battre sur des lieux, des destinations, des hôtels… n’est à mon sens, pas le métier des organisateurs d'événements. Bien sur, il nous faut dénicher de nouveaux endroits, opérer une veille concurrentielle, réaliser des éductours, mettre en place une pige des pays pour en connaître les tenants et aboutissants et conseiller au plus juste. Mais dans le MICE il ne s’agit pas de proposer un catalogue d’agence de voyage pour trouver sa destination, il ne s’agit pas d’être un vendeurs de destinations.
Ne nous y trompons pas, c’est bien la différence qui existe entre les agences qui prônent encore l’appellation «Tourisme d’affaires» et qui sont amenées à disparaître, entre celles (souvent des grosses agences de voyages FIT) qui dans leurs girons possèdent un département groupe (c’est un autre métier et cela ne concerne pas le MICE) et les agences événementielles ou MICE ou METTING INDUSTRY qui font la réalité du marché. Le bon choix d’une destination est donc celui qui a un instant T va correspondre au besoin de l’entreprise sur l’aspect stratégique et message saussi bien que sur l’aspect logistique. Cette fameuse alchimie !
Le bon choix d’une destination, c’est aussi comme dans tous les événements, celui qui générera la meilleure motivation de déplacement ou d’adhésion et le meilleur souvenir.
Le bon choix d’une destination, c’est certainement votre prochaine destination.
