Emirates a annoncé, le 17 avril 2013, le sponsoring pour 5 ans de la Fédération française de tennis pour les internationaux de France. En parallèle, le directeur général de la compagnie du Golfe a évoqué son intention d’augmenter la présence de son entreprise sur l’Hexagone.
La Tribune révèle qu’Emirates voudrait une nouvelle fois renforcer sa voilure sur l’Hexagone. «Nous aimerions augmenter notre présence en France en ajoutant des vols vers des villes que nous desservons déjà et en ouvrant de nouvelles dessertes comme Marseille, Toulouse, ou Bordeaux», a confié Tim Clark qui a ajouté que la demande avait déjà été faite au gouvernement français. Le directeur général France d’Emirates, Thierry Aucoc a appuyé ces propos «Nous sommes en train de discuter pour voir comment nous pouvons obtenir des droits supplémentaires».
Pour contrer les arguments d’Air France qui s’oppose depuis plusieurs années au développement de sa concurrente de Dubaï, à cause surtout des vols long-courriers vers l’Asie, le directeur général d’Emirates a chiffré la contribution de sa compagnie sur l’économie française : 200 millions d'euros. Mais pour le moment, si des approches ont été faites, les discussions sérieuses avec le gouvernement n’ont pas encore débuté et aucun calendrier n’a été fixé selon le journal économique. Un sursis qui pourrait permettre à Air France et sa nouvelle partenaire Etihad de peaufiner une contre-attaque ?
Pour contrer les arguments d’Air France qui s’oppose depuis plusieurs années au développement de sa concurrente de Dubaï, à cause surtout des vols long-courriers vers l’Asie, le directeur général d’Emirates a chiffré la contribution de sa compagnie sur l’économie française : 200 millions d'euros. Mais pour le moment, si des approches ont été faites, les discussions sérieuses avec le gouvernement n’ont pas encore débuté et aucun calendrier n’a été fixé selon le journal économique. Un sursis qui pourrait permettre à Air France et sa nouvelle partenaire Etihad de peaufiner une contre-attaque ?
