Lors d'un entretien avec le journal Schweiz am Sonntag, le patron d'Emirates a indiqué qu'il était très satisfait des performances enregistrées sur le marché suisse. Selon lui, il bénéficie de l'attractivité très business de Genève. La compagnie du Golfe envisage même de lancer des lignes au départ de Genève mais ce projet dépend du feu vert des autorités.
Le président d'Emirates Tim Clark est très satisfait des performances du marché suisse, et plus particulièrement de Genève qui affiche les marges "parmi les plus élevées" au sein du réseau. Pour lui, la destination Business est principalement portée par les banques et organisations internationales, implantées dans la région et grandes consommatrices des classes hautes. Il explique "la Suisse est très solide et est bien moins soumise à la volatilité qui existe sur les marchés européens".
Interrogé sur le développement de l'offre suisse, Tim Clark reconnaît qu'il "ne veut rien exclure". Il ajoute "le canton de Genève s'est présenté à nous et nous a demandé de proposer des vols directs à destination des États-Unis".
Mais obtenir l'autorisation de voler entre deux pays tiers sans faire d'escale sur son propre hub n'est pas une mince affaire. La compagnie a déjà demandé à l'office fédéral de l'aviation civile - il y a environ un an - le feu vert pour relier directement la Suisse et le Mexique, mais attend toujours la réponse.
Pour le patron d'Emirates, "Certaines personnes font pression en Suisse, pour que cette autorisation ne leur soit pas délivrée" et il rappelle en parallèle que Swiss appartient au groupe Lufthansa.
Interrogé sur le développement de l'offre suisse, Tim Clark reconnaît qu'il "ne veut rien exclure". Il ajoute "le canton de Genève s'est présenté à nous et nous a demandé de proposer des vols directs à destination des États-Unis".
Mais obtenir l'autorisation de voler entre deux pays tiers sans faire d'escale sur son propre hub n'est pas une mince affaire. La compagnie a déjà demandé à l'office fédéral de l'aviation civile - il y a environ un an - le feu vert pour relier directement la Suisse et le Mexique, mais attend toujours la réponse.
Pour le patron d'Emirates, "Certaines personnes font pression en Suisse, pour que cette autorisation ne leur soit pas délivrée" et il rappelle en parallèle que Swiss appartient au groupe Lufthansa.
