Le programme «voyage vert», développé par l’Eurostar depuis 2007, franchit une nouvelle étape avec l’annonce de nouveaux objectifs visant à réduire les émissions de CO2 : 25 % de réduction des émissions générées par l’ensemble des activités d’Eurostar d’ici 2015. La nouvelle feuille de route comprend aussi de nouveaux projets, en particulier pour mieux mesurer l’impact environnemental de la compagnie ferroviaire.
Eurostar compte bien faire de l’enjeu environnemental un argument de poids pour concurrencer les voyages en avion. La compagnie n’a donc pas manqué de rappeler le 16 juin les avancées générées par son programme «Voyage vert» : en 2009, l’entreprise a ainsi atteint son objectif initial de réduction de 25 % des émissions de CO2 par voyageur et par trajet, en avance sur ses prévisions. L’objectif est donc désormais réévalué à 35 % d’ici 2012, et Eurostar se dit confiant quant à ses chances de réussite.
Comme quasiment toutes ses activités produisent des gaz à effet de serre, Eurostar veut réduire de 25 % les émissions de CO2 dans ses activités d’ici 2015. Pour tenir sa promesse, la compagnie va passer au peigne fin toutes les activités de l’entreprise, y compris sa chaîne d’approvisionnement jusqu’à d’autres domaines qui ne sont pas en rapport direct avec son activité, et introduire des changements là où c’est nécessaire. Une étude innovante doit ainsi chiffrer l’empreinte carbone des activités d’Eurostar, et obtenir un point de référence à partir duquel les progrès pourront être mesurés L’analyse permettra à l’entreprise de comprendre où et comment elle génère des émissions de CO2, à la fois directement et indirectement, des déplacements du personnel à l’utilisation d’énergie, en passant par l’impact de ses investissements et les émissions de ses fournisseurs.
Comme quasiment toutes ses activités produisent des gaz à effet de serre, Eurostar veut réduire de 25 % les émissions de CO2 dans ses activités d’ici 2015. Pour tenir sa promesse, la compagnie va passer au peigne fin toutes les activités de l’entreprise, y compris sa chaîne d’approvisionnement jusqu’à d’autres domaines qui ne sont pas en rapport direct avec son activité, et introduire des changements là où c’est nécessaire. Une étude innovante doit ainsi chiffrer l’empreinte carbone des activités d’Eurostar, et obtenir un point de référence à partir duquel les progrès pourront être mesurés L’analyse permettra à l’entreprise de comprendre où et comment elle génère des émissions de CO2, à la fois directement et indirectement, des déplacements du personnel à l’utilisation d’énergie, en passant par l’impact de ses investissements et les émissions de ses fournisseurs.
