Depuis le début de l’année, l’Ecosse se présente sous le signe de la créativité : « Creative Scotland » est le slogan pour 2012. Pour soutenir ses villes et destinations d’affaires, le ministère écossais du tourisme a initié le « Bid Fund » un fonds qui les aide financièrement pour attirer d’avantage de grandes conférences internationales.
L’argent du "Bid Fund“ est destiné à soutenir l'accueil des congrès internationaux, via les centres de congrès des villes écossaises, les organisateurs d’évènements des destinations et des cercles de travail du secteur du tourisme d’affaires, etc. D’ici 2015, les centres de congrès et les organisateurs disposent ainsi d’un budget de 2,4 millions d’euros. Ils peuvent espérer un soutien financier du fonds s’ils envoient une candidature pour organiser un congrès international. Pour Fergus Ewing, le ministre écossais du tourisme, «Le but est de soutenir le tourisme d‘affaires de façon ciblée. Nous suivons ainsi les premières destinations d’affaires mondiales comme Hong Kong, Vienne ou Washington, qui ont déjà établi avec succès des modèles similaires.» Les congrès pour lesquels les organisateurs et destinations écossais peuvent envoyer leur candidature doivent faire partie de l’un des douze secteurs que le gouvernement a sélectionné : l‘aéronautique, la marine et la défense, les finances et le commerce, la chimie, l’énergie, les technologies de communication, l’éducation et la science, la gastronomie et le tourisme.
Edinburgh et Glasgow, les deux principaux centres d'accueil du tourisme d‘affaires
Les nombreuses institutions de recherche et les facultés des grandes universités écossaises forment la base des sciences naturelles et humaines. Ces lieux sont également très attirants pour des entreprises internationales qui y aménagent leurs bureaux et soutiennent ainsi une économie forte. Là où on travaille beaucoup il y a aussi beaucoup de congrès: En 2010, 2,8 millions de voyageurs d’affaires et de délégués sont venus en Ecosse, ce qui correspond à près d'un quart de tous les congrès d’associations internationales organisés au Royaume-Uni. Edinburgh et Glasgow sont ainsi – après Londres – les villes les plus importantes pour des congrès internationaux d’associations. Les deux destinations n’ont aucune difficulté à remplir les conditions pour de telles grandes manifestations qui demandent pas mal de logistique : les centres de conférence et de congrès à Glasgow et à Edinburgh sont très bien connectés aux aéroports, aux transports publics et aux hôtels. Les recettes du tourisme d’affaires confirment le succès de ce domaine: Les voyageurs d’affaires dépensent quelques 950 millions d’euros par an, ce qui veut dire concrètement qu’ils dépensent une fois et demie de plus que les touristes de loisirs.De quoi susciter les convoitises.
Pour en savoir plus : www.conventionscotland.com ou www.creativescotland.com
Edinburgh et Glasgow, les deux principaux centres d'accueil du tourisme d‘affaires
Les nombreuses institutions de recherche et les facultés des grandes universités écossaises forment la base des sciences naturelles et humaines. Ces lieux sont également très attirants pour des entreprises internationales qui y aménagent leurs bureaux et soutiennent ainsi une économie forte. Là où on travaille beaucoup il y a aussi beaucoup de congrès: En 2010, 2,8 millions de voyageurs d’affaires et de délégués sont venus en Ecosse, ce qui correspond à près d'un quart de tous les congrès d’associations internationales organisés au Royaume-Uni. Edinburgh et Glasgow sont ainsi – après Londres – les villes les plus importantes pour des congrès internationaux d’associations. Les deux destinations n’ont aucune difficulté à remplir les conditions pour de telles grandes manifestations qui demandent pas mal de logistique : les centres de conférence et de congrès à Glasgow et à Edinburgh sont très bien connectés aux aéroports, aux transports publics et aux hôtels. Les recettes du tourisme d’affaires confirment le succès de ce domaine: Les voyageurs d’affaires dépensent quelques 950 millions d’euros par an, ce qui veut dire concrètement qu’ils dépensent une fois et demie de plus que les touristes de loisirs.De quoi susciter les convoitises.
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