Les élus du syndicat mixte de l'aéroport de Saint-Étienne ont décidé de ne pas renouveler les contrats des low-cost Ryanair et Pegasus en raison de leurs coûts. Ils ont en outre décidé de ne pas donner suite à la proposition faite par SNC Lavalin après un appel d'offres pour la gestion de la plate-forme.
Après un déficit de 2,4 millions d'euros en 2016, les élus du syndicat mixte de l'aéroport de Saint-Etienne ont décidé de faire du ménage et de réduire les coûts. Ryanair ne proposera plus de vols vers Fès et Porto au départ de Saint-Étienne à partir d'octobre prochain. Sa consœur Pegasus devra pour sa part stopper ses dessertes d'Istanbul en juin 2018. La décision ne vient pas des compagnies mais des élus eux mêmes qui ont décidé de ne pas renouveler les contrats des deux transporteurs à bas coût à la fin de leur terme respectif.
Bernard Bonne, le président du Syndicat mixte de l’aéroport de Saint-Étienne Loire a expliqué au site Le Progrès "Nous devons trouver un nouveau modèle économique à cette infrastructure indispensable au département".
Par ailleurs, le syndicat mixte a également rejeté la proposition de SNC Lavalin, seul candidat à l'appel d'offre de la gestion de la piste. Les responsables assurent que sa pérennité n'est pas remise en cause. L'installation est maintenant entre les mains de la Chambre de Commerce et d’Industrie.
Bernard Bonne, le président du Syndicat mixte de l’aéroport de Saint-Étienne Loire a expliqué au site Le Progrès "Nous devons trouver un nouveau modèle économique à cette infrastructure indispensable au département".
Par ailleurs, le syndicat mixte a également rejeté la proposition de SNC Lavalin, seul candidat à l'appel d'offre de la gestion de la piste. Les responsables assurent que sa pérennité n'est pas remise en cause. L'installation est maintenant entre les mains de la Chambre de Commerce et d’Industrie.
