Guillaume Pepy, Président de SNCF et Michel Vauzelle, Président de la Région Provence Alpes Côte d’Azur, ont signé vendredi 14 janvier un protocole d’accord portant sur une amélioration significative de la qualité de service des transports express régionaux (TER). Cet accord est articulé autour d'engagements concrets pour améliorer la ponctualité et réduire les suppressions de trains pour des causes inhérentes à la SNCF.
Cet accord, qui porte sur une période de quinze mois, vise à ce que le nombre de trains supprimés ou en retard atteigne, en fin d’année 2011, les objectifs du contrat d’exploitation 2007/2016 signé entre la Région et la SNCF. Il instaure également un comité de pilotage trimestriel qui rend compte des objectifs contractualisés sur la base d’indicateurs de qualité. Cette signature coïncide avec la présentation des premiers résultats du plan de redressement régional lancé par SNCF durant l’été 2010.
Ce plan, baptisé PrioriT, recense près de 200 actions concrètes. Pour une meilleure qualité de service, ces propositions concernent des domaines très divers tels que la maintenance des matériels roulants, les procédures de départ, la programmation du personnel, la lutte anti-fraude, la sûreté dans les gares et à bord des trains mais aussi l’information des voyageurs avec le déploiement d’afficheurs légers. Cette technologie, qui représente un investissement de 2,65 M€ dont 2 M€ à la charge de la Région, équipe désormais près d’une centaine de gares offrant aux voyageurs un état du trafic en temps réel. Des efforts supplémentaires vont également être engagés, à hauteur de 14 M€ dès 2011, avec le concours de Réseau Ferré de France afin de corriger les dysfonctionnements liés à l’état des infrastructures. Pour la SNCF ce type d'accord pourrait être démultiplié dans les régions qui connaissent quelques dysfonctionnements de même type.
Ce plan, baptisé PrioriT, recense près de 200 actions concrètes. Pour une meilleure qualité de service, ces propositions concernent des domaines très divers tels que la maintenance des matériels roulants, les procédures de départ, la programmation du personnel, la lutte anti-fraude, la sûreté dans les gares et à bord des trains mais aussi l’information des voyageurs avec le déploiement d’afficheurs légers. Cette technologie, qui représente un investissement de 2,65 M€ dont 2 M€ à la charge de la Région, équipe désormais près d’une centaine de gares offrant aux voyageurs un état du trafic en temps réel. Des efforts supplémentaires vont également être engagés, à hauteur de 14 M€ dès 2011, avec le concours de Réseau Ferré de France afin de corriger les dysfonctionnements liés à l’état des infrastructures. Pour la SNCF ce type d'accord pourrait être démultiplié dans les régions qui connaissent quelques dysfonctionnements de même type.
