La grève ayant été autorisée par la justice, le syndicat Unite a débuté hier lundi 24 mai, un arrêt de travail qui pourrait durer 5 jours.
La compagnie prévoit pour les prochains jours un programme normal de vols à partir des aéroports londoniens de Gatwick et de City. Mais seulement 60% des long-courriers et 50% des moyen-courriers à Heathrow, sa principale plate-forme. British assure de transporter au moins 70% des passagers. Un chiffre que contestent les grévistes qui se disent déterminés à peser sur les choix sociaux de la compagnie.
Des discussions ont eu lieu samedi, mais elles ont été interrompues par une manifestation de salariés.
Le syndicat Unite a annoncé, dimanche après-midi, qu'il pouvait lever in extremis son mouvement si la direction s'engageait à rétablir les avantages des salariés en matière de voyages, mais la proposition a été rejetée par la direction de la compagnie. British reproche au syndicat de ne négocier que par médias interposés et affirme avoir déjà fait des concessions.
Le syndicat a également prévu de nouvelles périodes de cinq jours de grève à partir du 30 mai et du 5 juin, si le conflit n'est pas réglé d'ici là.
Des discussions ont eu lieu samedi, mais elles ont été interrompues par une manifestation de salariés.
Le syndicat Unite a annoncé, dimanche après-midi, qu'il pouvait lever in extremis son mouvement si la direction s'engageait à rétablir les avantages des salariés en matière de voyages, mais la proposition a été rejetée par la direction de la compagnie. British reproche au syndicat de ne négocier que par médias interposés et affirme avoir déjà fait des concessions.
Le syndicat a également prévu de nouvelles périodes de cinq jours de grève à partir du 30 mai et du 5 juin, si le conflit n'est pas réglé d'ici là.