Bonne nouvelle de fin d’année pour le budget des déplacements professionnels, le gas-oil est passé la semaine dernière sous le seuil symbolique de 1 euro en moyenne en France. Les augmentations prévues pour le premier janvier devraient annuler l’effet d’aubaine.
Pour la première fois depuis juillet 2009, le gas-oil est passé sous le seuil des 1 euro en moyenne en France, selon les relevés hebdomadaires du ministère de l'Ecologie et de l'Energie. Il valait en effet 99,5 centimes d’euros le litre en moyenne (1,0018 euro la semaine précédente).
Ce recul est provoqué par la baisse du baril, au plus bas depuis 11 ans à 36,13$ le baril de Brent (pétrole de la mer du Nord). Cette tendance devrait se poursuivre cette année 2016 en raison de la surproduction, liée à la fois au retour de l’Iran sur la place internationale, à l’incapacité de l’Opep à s’entendre sur une réduction de la production et – moins bonne nouvelle – à une baisse de la demande liée autant à la situation économique qu’à la météo douce jusqu’ici en Europe.
En revanche et malgré cette tendance, certains carburants repartiront à la hausse le 1er janvier prochain en raison de la mise en place de nouvelles taxes : +2 cts le litre pour le super sans plomb 95 et + 3,5 centimes pour le diesel. Ces augmentations seront-elles compensées par un nouveau recul du pétrole ? C’est toute la question.
Ce recul est provoqué par la baisse du baril, au plus bas depuis 11 ans à 36,13$ le baril de Brent (pétrole de la mer du Nord). Cette tendance devrait se poursuivre cette année 2016 en raison de la surproduction, liée à la fois au retour de l’Iran sur la place internationale, à l’incapacité de l’Opep à s’entendre sur une réduction de la production et – moins bonne nouvelle – à une baisse de la demande liée autant à la situation économique qu’à la météo douce jusqu’ici en Europe.
En revanche et malgré cette tendance, certains carburants repartiront à la hausse le 1er janvier prochain en raison de la mise en place de nouvelles taxes : +2 cts le litre pour le super sans plomb 95 et + 3,5 centimes pour le diesel. Ces augmentations seront-elles compensées par un nouveau recul du pétrole ? C’est toute la question.
