Le chiffre est tombé comme tous les ans : 28,5 milliards d’euros. C’est le poids que pèsera le voyage d’affaire en France en 2017. Une hausse de 3,5% , la plus importante depuis le lancement de l’étude en 2011. Optimiste débridé ? Non simple constat sur les évolutions d’un marché mature qui reste intermédié à 57%.
«Le besoin de voyager est toujours très présent» détaille Matthieu Gufflet qui présentait ce 21 septembre à l’IFTM Top Resa les tendances du voyage d’affaires pour 2017, réalisé en partenariat avec DéplacementsPros. Pour Christophe Drezet et ses équipes qui moulinent quelques centaines de milliers de chiffres pour obtenir les prévisions annuelles «la maitrise des déplacements professionnels est de plus en plus poussée au fil des ans».
Tous les univers ne vont pas connaître la même progression. Mice et Aérien seront en léger recul alors que la consommation progresse. Un paradoxe qui s’explique pour l’évènementiel ou la meeting industry par des durées de séjour plus courts et des choix de lieux plus économiques. Au final un recul annoncé pour 2017 de 1%. Même constat sur l’aérien (en baisse de 1,6% en France) en raison de la chute continue du prix des billets.
Autant de chiffres à étudier de près dans la présentation jointe. Mais le point fort de ces tendances restent dans l’analyse qu’en font les experts. Le «train de l’innovation ne doit pas être manqué» explique Christophe Drezet qui souligne « la frilosité » des achats comme des clients. «Les évolutions doivent s’intégrer aux politiques voyages tout comme la simplification doit être de mise pour la gestion par les voyageurs des outils d’aquisition ou de modification de leurs déplacements professionnels».
Mais Matthieu Gufflet reste prudent: «On assistera à évolutions bénéfiques de la relation client à tous les niveaux, y compris pour les TMC qui aujourd’hui se réinventent pour s’adapter aux besoins de l’époque».
Tous les univers ne vont pas connaître la même progression. Mice et Aérien seront en léger recul alors que la consommation progresse. Un paradoxe qui s’explique pour l’évènementiel ou la meeting industry par des durées de séjour plus courts et des choix de lieux plus économiques. Au final un recul annoncé pour 2017 de 1%. Même constat sur l’aérien (en baisse de 1,6% en France) en raison de la chute continue du prix des billets.
Autant de chiffres à étudier de près dans la présentation jointe. Mais le point fort de ces tendances restent dans l’analyse qu’en font les experts. Le «train de l’innovation ne doit pas être manqué» explique Christophe Drezet qui souligne « la frilosité » des achats comme des clients. «Les évolutions doivent s’intégrer aux politiques voyages tout comme la simplification doit être de mise pour la gestion par les voyageurs des outils d’aquisition ou de modification de leurs déplacements professionnels».
Mais Matthieu Gufflet reste prudent: «On assistera à évolutions bénéfiques de la relation client à tous les niveaux, y compris pour les TMC qui aujourd’hui se réinventent pour s’adapter aux besoins de l’époque».
