Depuis le 23 septembre, les voyageurs d’affaires peuvent se connecter au net gratuitement dans les gares suisses de Wetzikon, Berne Wankdorf et Berthoud. L’essai étant concluant, le service a été déployé sur les quais de Morges, Nyon, Montreux et Vevey. D’ici fin 2015, il sera disponible dans les 100 gares les plus fréquentées. Les CFF travaillent aussi avec les opérateurs de téléphonie mobile pour améliorer le réseau dans les trains régionaux.
Depuis le 6 novembre 2013, les passagers peuvent mieux mettre à profit le temps passé en gares de Morges, Nyon, Montreux et Vevey – grâce au service «SBB-FREE» wifi. «Le service répond à un réel besoin de la clientèle», souligne Peter Kummer, CIO des CFF en charge de l’implémentation de la stratégie de téléphonie mobile aux CFF. Plus de 5000 personnes se sont d’ores et déjà enregistrées, soit 25 % des quelque 20 000 personnes qui fréquentent quotidiennement les trois gares pilotes : Wetzikon, Berne Wankdorf et Berthoud. Les 100 gares les plus fréquentées seront équipées du wifi gratuit avant la fin de l’année 2015. Ainsi, Zurich Altstetten, Bülach, Weinfelden, Thalwil, Pfäffikon SZ et Stettbach seront connectées à partir du 18 novembre 2013. Les usagers des gares de Wädenswil, Uster, Dietikon, Zurich Hardbrücke et Effretikon devront patienter jusqu’au 27 janvier 2014. Le 5eme déploiement couvrira les quais de Liestal, Arth Goldau, Yverdon-les-Bains et Viège.
Une meilleure couverture dans les trains
«En trafic grandes lignes, les voyageurs bénéficient d’un réseau de qualité dans plus de 70% des voitures pour téléphoner et surfer», assurent les CFF. La compagnie ferroviaire ajoute que d’ici à la fin de l’année 2014, toutes les rames du trafic grandes lignes seront équipées des amplificateurs de signal requis.
Les trains régionaux ne sont pas oubliés. Les CFF comptent équiper leurs véhicules du trafic régional d’amplificateurs de signal. De plus, des antennes supplémentaires des trois opérateurs pourraient être nécessaires le long des lignes. Les investissements liés à l’installation de répéteurs dans les rames régionales sont estimés à CHF 66 millions (env. 53,7 millions d’euros). Les CFF profiteront des révisions du matériel roulant déjà planifiées en 2014 pour commencer à adapter les équipements correspondants. L’ensemble du parc de véhicules du trafic régional sera ainsi équipé d’ici à 2020. «Reste à régler la question du financement global avec les opérateurs de téléphonie mobile et les cantons, en tant que commanditaires. L’Office fédéral des transports (OFT) reconnaît le bien-fondé de l’installation d’amplificateurs de signal 3G en trafic régional. Mais un co-financement par l'OFT exigerait que la plus grande partie des coûts soient pris en charge par les fournisseurs», expliquent les CFF qui ont entamé des discutions avec les opérateurs.
Une meilleure couverture dans les trains
«En trafic grandes lignes, les voyageurs bénéficient d’un réseau de qualité dans plus de 70% des voitures pour téléphoner et surfer», assurent les CFF. La compagnie ferroviaire ajoute que d’ici à la fin de l’année 2014, toutes les rames du trafic grandes lignes seront équipées des amplificateurs de signal requis.
Les trains régionaux ne sont pas oubliés. Les CFF comptent équiper leurs véhicules du trafic régional d’amplificateurs de signal. De plus, des antennes supplémentaires des trois opérateurs pourraient être nécessaires le long des lignes. Les investissements liés à l’installation de répéteurs dans les rames régionales sont estimés à CHF 66 millions (env. 53,7 millions d’euros). Les CFF profiteront des révisions du matériel roulant déjà planifiées en 2014 pour commencer à adapter les équipements correspondants. L’ensemble du parc de véhicules du trafic régional sera ainsi équipé d’ici à 2020. «Reste à régler la question du financement global avec les opérateurs de téléphonie mobile et les cantons, en tant que commanditaires. L’Office fédéral des transports (OFT) reconnaît le bien-fondé de l’installation d’amplificateurs de signal 3G en trafic régional. Mais un co-financement par l'OFT exigerait que la plus grande partie des coûts soient pris en charge par les fournisseurs», expliquent les CFF qui ont entamé des discutions avec les opérateurs.
